Réagissant jeudi 12 décembre, au rapport de l’Amnesty International sur la répression sanglante des combattants Wazalendo, le Gouvernement congolais a affirmé avoir établi les responsabilités.
Il a expliqué que le Gouvernement congolais avait organisé un procès en flagrance et deux membres du Gouvernement étaient dépêchés sur place et des réponses ont été données sur base des pièces qui leur ont été communiquées.
« Il faut peut-être on se referre à notre justice parce que Nous étant que Gouvernement nous estimons que sur cette question les réponses ont été données de manière flagrante et les responsabilités ont été établies, des condamnations faites et un procès en appel est attendu », a-t-il précisé.
Le porte-parole du Gouvernement a en outre estimé que la démarche de l’Amnesty International est aussi la même que celle de l’Etat congolais qui veut que justice soit faite en faveur des victimes.
Selon des sources sur place, cet accrochage avait eu lieu dans les quartiers Ouest et Nord de la capitale provinciale du Nord-Kivu.
Author(s): radiookapi.net
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