Day: December 13, 2024

Les humanitaire éprouvent de plus en plus des difficultés pour accéder aux populations déplacées vulnérables, victimes de l’insécurité dans la région de Mabalako-Cantine, (Nord-Kivu) afin de leur distribuer l’aide humanitaire.
Les cas les plus récents remontent au mois de novembre dernier.
Au cours du même mois, une équipe d’évaluation de STAREST s’était également vu refuser le passage par un groupe de jeunes.
« Aujourd’hui, de Mabalako jusqu’à Cantine, les populations souffrent parce qu’on a chassé tous les humanitaires, même les agents de développement, même nous de STAREST qui menons des projets de développement du Gouvernement.
Pour sa part, Deborah Nyonyi, Secrétaire administrative du groupement de Baswagha-Madiwe, affirme que cette situation préoccupe les autorités dans cette zone.

Jeunes, déterminés et animés par la fureur de vaincre, les « Wazalendo », bottes en caoutchouc, font essuyer aux terroristes du M23 des revers inimaginables.
C’est ici l’occasion de saluer la mémoire de nos vaillants militaires de force de résistance, les Wazalendo pour leur engagement dans la défense de notre nation.
Nous rendons également hommage à tous nos compatriotes injustement fauchés par la guerre, la violence et la maladie, a déclaré Félix Tshisekedi.
Il s’agit, selon lui, de dépeuplement progressif de certains territoires stratégiques, suivi de leur repeuplement par des populations étrangères implantées par le Rwanda.
Au lieu de les considérer uniquement comme des criminels, le gouvernement a choisi d’engager ces jeunes dans des projets de développement communautaire, a indiqué le président Tshisekedi.

Dans une interview accordée a Opinion-infos.cd, ce jeudi 12 décembre 2024, il a critiqué le discours de Tshisekedi, soulignant une incohérence majeure entre les déclarations du président et la réalité sur le terrain.
Mais ne pas reconnaître les faits aujourd’hui et continuer sur le chemin de mensonges, c’est très compliqué, c’est vouloir piétiner sur les efforts qui sont en train d’être menés par notre armée sur le terrain.
Celui-ci a spécifiquement pointé du doigt la situation des opérations militaires contre les terroristes du M23.
Aucun territoire n’a été récupéré par la SADC, moins encore par notre armée.
L’ennemi est encore sur notre territoire, et il a raté son discours à ce sujet », a-t-il insisté.

Les habitants du quartier Mambango, dans la ville de Beni (Nord-Kivu) accusent les militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) de tracasseries, d’intimidation et de vol dans leurs champs.
Il accuse les militaires qui sont logés au camp de Mambango d’être responsables de ces actes inciviques.
Ces militaires ravissent les téléphones et les produits champêtres aux paysans, ce qui les empêche de se rendre en toute tranquillité dans leurs champs :« La population n’a pas toute la liberté d’aller aux champs.
A chaque passage d’un agriculteur, ces militaires récupèrent une quantité de ce qu’ils ramènent du champ », regrette l’autorité locale.
Il promet d’organiser des séances de sensibilisation qui incluront les militaires, notamment les nouvelles recrues ainsi que les chefs de base locaux pour maintenir tenter de recréer la confiance entre les deux parties.

« Je remercie tous les agents et cadres pour vos encouragements.
C’est dans cette lancée que nous avons construit des toilettes modernes et amélioré les conditions de travail en mettant à la disposition des agents des chaises confortables et en réhabilitant le bâtiment », a-t-elle précisé.
A cet effet, la directrice générale ayant remarqué que les toilettes étaient dans un état non recommandé, a répondu à ces exigences.
D’après M. Py Roger, l’acquisition des motos vise à renforcer la brigade anti-fraude, afin de gagner tous les produits pour le compte de la République.
« Dans notre pays, nos frontières sont poreuses et une grande partie de nos produits sortent des pays voisins, ce qui représente un manque à gagner pour l’Onapac », a-t-il précisé.