Météo-RDC : des orages isolés avec pluies prévus samedi dans 11 provinces

2024-12-052024-12-052024-12-052024-12-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/changement_revision_constitution_andre_bokundoa_05_dec_2024.jpgLe débat sur le changement ou la révision de la Constitution continue de battre son plein au sein de l’opinion nationale.
Dans l’exercice de sa mission prophétique et pastorale, le président national de l’Église du Christ au Congo (ECC), le révérend docteur André-Gédéon Bokundoa dit suivre avec attention, l’évolution des discussions autour de l’accord de Luanda en lien avec la situation sécuritaire dans l’Est du Pays, ainsi que les débats autour de la Constitution du 18 février 2006.
Dans l’optique de donner sa position sur cette épineuse question qui marque l’actualité au niveau national depuis plusieurs semaines, l’ECC annonce dans un communiqué rendu public ce jeudi 5 décembre qu’elle va réunir dans les prochaines semaines son comité exécutif national.
“En vue de permettre à l’ECC de proposer des solutions idoines et consensuelles aux défis susmentionnés, le président national se met à la disposition de toutes les couches sociales du pays et annonce la tenue du comité exécutif national de l’ECC dans les semaines qui suivent”, lit-on dans un communiqué publié ce jeudi 5 décembre.
Quant au climat de tension qui caractérise le débat au sein de l’opinion sur la question de révision ou changement de la Constitution, le président national de l’ECC réitère son appel aux fils et aux filles du pays, à privilégier le cadre consensuel et apaisé pour toute initiative relevant de l’intérêt supérieur de la Nation.

Kinshasa, 6 décembre 2024(ACP).-Le renforcement d’un cadre légal et réglementaire dans le secteur minier a été recommandé à Kolwezi, dans la province du Lualaba, partie Sud-est de la République démocratique du Congo, par une organisation non gouvernementale, selon un rapport consulté vendredi par l’ACP.
Elle a également recommandé à cette occasion, l’imposition d’un seuil acceptable d’émission de gaz à effets de serre à ne pas dépasser par les entreprises minières et l’instauration d’une taxe carbone dans le secteur extractif pour soutenir les efforts d’adaptation au changement climatique dans les communautés impactées par l’exploitation minière.
Ceci pour permettre aux communautés locales impactées par l’exploitation minière de faire face aux effets de changements climatiques et, enfin, à mener un plaidoyer pour que le cadre légal sur le changement climatique soit mis en place.
Ces perturbations, a-t-il ajouté, se manifestent, entre autres, par le prolongement de la saison sèche et le raccourcissement de celle de pluies, ainsi que l’augmentation des séquences de sécheresse pendant la pluie et l’augmentation de la température.
«Elles renforcent la vulnérabilité des communautés locales en impactant négativement la production agricole, principale activité économique de ces dernières, déjà mise en mal par les activités minières », a-t-il conclu.

Sur des vidéos en circulation, d’une rare violence, on voit Kabue Ditunga et ses miliciens dansant autour d’un “Tshiota”, exhibant des dizaines de têtes humaines.
Kabue Ditunga s’était rendu tristement célèbre le 31 mai 2017 lorsqu’il avait intercepté le véhicule des inspecteurs de l’enseignement en route pour l’organisation des épreuves de dissertation à Kafuba.
Les quatre inspecteurs, dont une femme, avaient été décapités, en plus d’un conseiller du ministre provincial de l’enseignement et du chauffeur.
À l’avènement de Félix Tshisekedi, Kabue Ditunga, à la tête d’une cohorte de miliciens lourdement armés, avait paradé dans les rues de Kananga et déposé les armes sans être inquiété.
Son arrestation pourrait soulager plusieurs familles qui avaient perdu les leurs, selon un défenseur des droits de l’homme actif à Kananga.