Mbanza-Ngungu : lancement des travaux de construction d’un centre de transformation de la tomate

2025-01-212025-01-212025-01-212025-01-21Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/20-26/judith_suminwa_250.jpgLa suspension du doublement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG) en RDC par la Première ministre Judith Suminwa suscite une vive polémique.
Cette décision, perçue comme une trahison par les travailleurs et influencée par des pressions patronales, reflète les tensions autour du pouvoir d’achat dans un contexte économique difficile.
En République démocratique du Congo, une polémique enflamme les débats autour du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SMIG).
Pour les fonctionnaires et les employés du secteur privé, l’annonce du doublement du SMIG avait suscité un véritable espoir dans un contexte économique marqué par une inflation galopante.
Le ministre Ephraim Akwakwa justifiait le réajustement comme une simple actualisation, alignée sur le taux budgétaire officiel de 2025.

Ebuteli et le Groupe d’étude sur le Congo (GEC) publient ce mardi leur nouveau rapport intitulé Attentes et désillusion de financements climatiques en République démocratique du Congo.
Les attentes autour des financements climatiques continuent de décevoir.
Ce sous-financement compromet l’appropriation nationale des initiatives visant la préservation des forêts et tourbières.
Tel est le défi à relever par l’État congolais et ses partenaires », explique Albert-Jolino Malukisa, directeur du pilier gouvernance à Ebuteli.
Pour accroître son financement climatique, la RDC doit mettre en place une bonne gouvernance, un climat des affaires adéquat, une stabilité socio-économique et politique, et un cadre réglementaire transparent, tout en ayant la capacité de mise en œuvre des politiques et la lutte contre la corruption.

Le Chef de l’État s’est engagé à réhabiliter 38 000 kilomètres de routes de desserte agricole prévus dans le PDL-145T, ainsi que 11 423 kilomètres de routes prioritaires supplémentaires, en un délai d’un an.
Ce programme inclut également l’aménagement de 11 432 kilomètres de voies navigables destinées à la desserte agricole et la construction d’entrepôts portuaires adaptés.
Ces initiatives visent à désenclaver les bassins de production, dynamiser les économies rurales et renforcer la sécurité alimentaire à travers le pays.
Le projet de loi des finances 2025, soumis à l’examen du Parlement, alloue des ressources importantes à ces investissements.
Les travaux incluent également l’installation de réseaux d’eau potable et de microcentrales photovoltaïques, ainsi que la construction de marchés modernes et d’espaces de vie dans les zones rurales.