Matadi : des questions liées à la sécurité, au centre d’une réunion

“(…) À l’époque à 1999, la MONUSCO a constaté la présence de plusieurs groupes armés nationaux et étrangers sur toute l’étendue du territoire congolais.
Ces groupes armés constituaient une menace directe pour la sécurité et la paix.
Dans la foulée, la porte-parole de la MONUSCO en RDC indique que la mission onusienne est engagée dans une réflexion approfondie avec les autorités du pays pour les dernières phases de son départ.
“Les succès de la MONUSCO qui ont donc permis de se désengager de la majorité des provinces sont aussi les succès de l’État congolais parce que la MONUSCO seule ne peut pas réussir.
Il convient de rappeler que la MONUSCO est arrivée en République démocratique du Congo en 1999, sous le nom de “MONUC”.

Cette déclaration a été faite jeudi 12 décembre 2024 lors d’un briefing d’orientation avec l’équipe des inspecteurs désignés pour cette mission.
Ils auront également pour mission de veiller scrupuleusement au respect des droits humains tout au long de cette opération.
Lors de ce briefing, il a également insisté sur l’importance de la collaboration entre ses inspecteurs et les unités déjà déployées pour cette cause.
L’Inspection Générale de la Police a donc le devoir d’accompagner le gouvernement conformément à ses missions,” a ajouté le chef de l’IG PNC.
Cette opération vise à les arrêter et à les traduire en justice à travers une commission mixte composée de la police nationale congolaise, de hauts magistrats et d’autres représentants sociaux.

Kindu, 07 janvier 2025 (ACP).- Les parties prenantes impliquées dans la conservation autour du Parc National de la Lomami (PNL), dans la province du Maniema, centre-Est de la République démocratique du Congo), ont salué les mécanismes de gestion des plaintes (MGP) de cette aire protégée, a appris l’ACP mardi dans un entretien.
« Cette mise en place de mécanismes de gestion des plaintes qui est comme mode de résolution pacifique des conflits a pour principal objectif de régler les différents litiges liés à la conservation qui pourra surgir entre les parties prenantes », a-t-il dit.
Pour le directeur en charge des Droits humains et des MGP à l’ICCN/Maniema, cette mise en place vient renforcer les liens de collaboration entre les Communautés vivantes autour du PNL, les gestionnaires de patrimoine mondial.
Il a, à cette occasion, salué l’engagement de l’ICCN et ses partenaires pour cette initiative qui pourra aider à toutes les Communautés riveraines de bien se comporter.
Il a, en outre, rassuré son engagement ferme sur cette question de développement en faveur de cette initiative capitale qui vise à réduire sensiblement les conflits entre les gestionnaires du Parc National de la Lomami et la population riveraine.