Révision constitutionnelle : Augustin Kabuya en guerre contre les détracteurs de la Première ministre !

Augustin Kabuya dénonce, dans ce débat, une action visant à remettre en cause les capacités de la première ministre.
Elle est aujourd’hui Première ministre de la RDC”, a-t-il précisé, avant de s’interroger : “Et on veut se permettre de tout remettre en cause, parce qu’elle s’est trompée sur une disposition de la Constitution ?
Qui a dit que tout le monde peut se tromper, sauf la Première ministre ?”
Je connais les capacités de la Première ministre”.
Au niveau de l’opposition, l’on y voit une intention manifeste du pouvoir en place de vouloir s’éterniser au pouvoir.

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Révision de la Constitution : “C’est un procès d’intention, Félix Tshisekedi n’a jamais évoqué un troisième mandat” (Augustin Kabuya)

Démenti sur le troisième mandatRépondant aux accusations de l’opposition qui soupçonne le président Félix Tshisekedi de vouloir briguer un troisième mandat, Kabuya a qualifié ces affirmations de “procès d’intention”.
Il a insisté sur le fait que le chef de l’État n’a jamais exprimé une telle intention.
La “volonté populaire” mise en avant Néanmoins, Augustin Kabuya a laissé entendre que la décision ultime appartient au peuple congolais.
“Si la population décide d’accorder un troisième mandat au Chef de l’État, qui suis-je pour m’opposer à la volonté populaire ?
Ouvrant ainsi la porte à un débat sur le rôle de la souveraineté populaire dans la révision constitutionnelle.

« Le pays est sous la loi martiale, la Constitution n’a plus de valeur, adieu la démocratie » (Néhémie Mwilanya)

Selon lui, le pays est désormais « définitivement sous la loi martiale », et la démocratie congolaise, jadis en construction, est désormais en péril.
Il a ajouté que le pouvoir en place semble avoir abandonné la nécessité d’une Constitution, et que « plus d’illusion est possible », annonçant un renoncement à tout principe démocratique.
Une critique acerbe contre la situation politiqueDans ses propos, Mwilanya ne cache pas son désenchantement face à la situation actuelle du pays.
Cette affirmation fait écho aux nombreux rapports d’organisations internationales qui ont mis en lumière la répression croissante des opposants politiques, des militants de la société civile, et des journalistes en RDC, notamment dans le cadre de manifestations contre la révision de la Constitution et la gouvernance actuelle.
La révision de la Constitution et la dérive autoritaireL’actualité récente, marquée par des manifestations contre une révision de la Constitution, a exacerbé les tensions politiques en RDC.

Haut-Katanga : une pétition finalement prête avec les Fédérations de l’UDPS à Lubumbashi pour le changement de la Constitution

L’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), à travers ses différentes Fédérations de la ville de Lubumbashi, chef-lieu de la province du Haut-Katanga, est désormais en possession d’une pétition et toutes les signatures pour amorcer le processus de changement de la Constitution.
Cette annonce est faite par Alain Kabongo, cadre du parti présidentiel et élu dans cette zone du Katanga, Sud-Est du pays.
“Nous avons fini avec notre campagne de récolte de signatures pour qu’on arrive à amorcer le processus de changement de l’actuelle Constitution de notre pays.
Le rapport de cette récolte de signatures sera présenté officiellement mercredi prochain à Lubumbashi, ce sera, selon lui, dans une conférence de presse.
Ce haut cadre de l’UDPS a également salué l’engagement de son parti, et principalement le secrétaire général Augustin Kabuya pour la mobilisation à travers le pays pour une nouvelle loi mère du pays, et salue également l’initiative pour la convocation des États générauxdes Fédérations de l’UDPS.

RDC : Judith Suminwa engage Jacquemain Shabani, Guy Muadiamvita et JP Bemba à procéder “immédiatement” à la suppression de toutes les barrières et perceptions routières “illégales”

Cette problématique avait déjà été abordée lors de la réunion du comité de conjoncture économique tenue mercredi 4 décembre 2024 sous sa direction.
Cette nouvelle instruction de Judith Suminwa Tuluka s’inscrit dans la continuité des directives données précédemment par le président Félix Tshisekedi, notamment sous le gouvernement de l’ancien Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge.
Tout en rappelant les instructions données par le président de la République au cours de la 43e réunion du Conseil des ministres”, précise le compte rendu.
La présence de barrières le long des routes en RDC a un impact significatif sur le prix des produits de première nécessité.
Selon lui, la plupart de ces barrières sont tenues par les forces de sécurité, notamment la police, l’armée, la Direction générale des Migrations et d’autres services étatiques.

Basketball/WBLA : le BC Makomeno et le BC CNSS manquent leur entrée

Le BC ASB Makomeno et le BC CNSS, deux représentants de la RDC au Women’s Basketball League Africa (WBLA), ont débuté chacun cette campagne par une défaite, le samedi 7 décembre respectivement face à Jeanne d’Arc du Sénégal (34-57) et à APR WOMEN BBC du Rwanda (68-73).
Le BC CNSS, qui était le premier à se lancer dans cette compétition, a fait face à la pression de l’équipe rwandaise.
Peu de temps après, la deuxième équipe congolaise, le BC ASB Makomeno, a également échoué à franchir l’obstacle sénégalais de Jeanne d’Arc.
Les Congolaises, menées par Laura Ilunga Kabongo, ont été asphyxiées par les Sénégalaises, qui ont dominé tous les quarts (24-31, 10-26), soit 14-19, 10-12, 7-9, 3-17.
Des défaites qu’il faudra vite oublier pour les clubs congolais et se concentrer sur leur prochain match.

Kinshasa : la commission Matata Ponyo préconise des démolitions ciblées pour lutter contre les constructions anarchiques

La commission ad hoc sur l’insalubrité, les constructions anarchiques et les embouteillages, dirigée par Matata Ponyo, a présenté son rapport de mission.
Recommandations pour des démolitions cibléesLa commission appelle à des démolitions symboliques et ciblées dans des zones identifiées comme particulièrement problématiques.
Prévention des constructions illégalesPour prévenir de futures constructions anarchiques, la commission recommande la mise en place d’un système d’alerte populaire.
Ce dispositif inclurait :Une plateforme de participation citoyenne permettant aux habitants de signaler les constructions illégales, les dépôts d’ordures sauvages et les embouteillages récurrents.
Facteurs de prolifération des constructions anarchiquesLa commission identifie plusieurs causes à la prolifération des constructions anarchiques dans la capitale congolaise :Une forte pression démographique.

L’actualité de la semaine vue par Florence Kapila

La RDC a obtenu un nouveau procès contre le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples.
Politiquement, ce procès pourrait exacerber les tensions entre la RDC et le Rwanda, mais aussi offrir un cadre pour la justice et la réconciliation si les responsabilités sont clairement établies.
Florence Kapila : Le corridor économique entre la RDC, l’Angola, la Zambie et la Tanzanie offre des opportunités considérables pour renforcer l’intégration régionale, stimuler les échanges commerciaux et améliorer les infrastructures.
Florence Kapila : L’affaire soulève des questions fondamentales concernant la liberté d’expression et la présomption d’innocence.
Sur le plan régional, un tel événement pourrait modifier les équilibres géopolitiques, affecter les relations entre les puissances comme les États-Unis, la Russie, l’Iran et les pays voisins, et redéfinir les alliances et les stratégies dans la région.

RDC : Le gouvernement appelé à mettre en place une politique nationale pour les enfants déplacés et victimes des conflits

Le séjour des enfants déplacés du Nord et du Sud-Kivu à Kinshasa n’a pas laissé indifférent le président Félix-Antoine Tshisekedi.
L’objectif de cette initiative est d’assurer une prise en charge adéquate de ces enfants vulnérables tout en leur offrant des perspectives pour l’avenir.
Une note conceptuelle est attendue d’ici la fin du mois de juin 2025,” a rapporté le porte-parole du gouvernement.
“Plus de 58 % des personnes affectées par les conflits sont des enfants.
Ces enfants aspirent à retrouver leurs maisons, vivre en sécurité et jouir des droits fondamentaux.

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