Pour lutter contre les embouteillages à Kinshasa : “La solution, désigner des dirigeants compétents” (Martin Fayulu)

Retour SociétéPour lutter contre les embouteillages à Kinshasa : “La solution, désigner des dirigeants compétents” (Martin Fayulu)2024-11-122024-11-122024-11-122024-11-12Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/martin_fayulu_240025.jpgDes nouvelles mesures expérimentales mises en place pour fluidifier le trafic routier dans la ville de Kinshasa rendent la circulation de plus en plus difficile.
Des embouteillages monstres à la longueur de la journée font que certains chauffeurs augmentent le prix de transport en commun sous l’œil impuissant des autorités du pays.
Pour Martin Fayulu Madidi, la seule solution pour résoudre ce problème, c’est de désigner des dirigeants compétents.
En effet, la compétence et l’engagement des dirigeants influencent considérablement la gestion urbaine et l’amélioration des infrastructures de transport.
Bref il est question des créer des îles, des quartiers du quart d’heure.

Changement constitutionnel: Sama Lukonde met Kamerhe, Bahati et Bemba sous pression

La plateforme du président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, adhère totalement à cette initiative.
Réuni ce dimanche 24 novembre 2024, le présidium de DAB a examiné la question du changement ou de révision de la constitution, voulu par le président de la République.
Avec cette prise de position, Sama Lukonde devient le troisième membre du présidium de l’Union sacrée, plateforme présidentielle, à dire oui au changement ou à la révision de la constitution.
Les trois autres, à savoir Vital Kamerhe, Modeste Bahati et Jean-Pierre Bemba ne se sont pas encore prononcés.
Mais la déclaration du regroupement politique de l’ancien premier ministre met sans doute le président de l’Assemblée nationale, le deuxième vice-président du sénat et le vice-premier ministre des Transports sous une forte pression.

Infrastructures : sur 58.000 km de routes d’intérêt général en RDC, 3.000 seulement sont revêtus soit près de 5% du linéaire (Alexis Gisaro)

Avant de répondre à ces questions essentiellement axées sur la partie Est du pays, le ministre Gisaro a tenu à présenter le cadre général du secteur routier sur l’ensemble du pays.
Dans son exposé, le patron des ITP a révélé à la représentation nationale que le réseau routier de la RDC présente un linéaire total de 153.000 kilomètres, dont 58.000 d’intérêt général et sur lesquels environ 3.000 km sont revêtus, soit près de 5% seulement du linéaire d’intérêt général.
“Notre réseau routier national présente un linéaire total de 153.000 kilomètres, dont 58.000 d’intérêt général et sur lesquels environ 3.000 km sont revêtus, c’est-à-dire près de 5% du linéaire d’intérêt général.
Congo, devient encore plus faible si l’on compare les 3.000 km revêtus à l’ensemble du réseau national de 153.000 km, qui comprend, à la fois, des routes nationales, des routes d’intérêt provincial et des routes de dessertes agricoles, toutes aussi importantes”, a-t-il révélé.
Cette faible connectivité de réseau routier est dûe, selon le ministre des ITP, au manque d’investissements de manière suffisante dans les infrastructures routières.

L’Union sacrée au bord de l’éclatement : une pétition en gestation pour faire sauter Kamerhe du perchoir de l’AN. Bemba, Bahati, Sama… sommés de se prononcer sur le changement de la Constitution

2024-11-222024-11-222024-11-222024-11-22Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/ass_nat_petition_contre_vital_kamerhe_22_nov_2024.jpgSelon une information parvenue vendredi 22 novembre 2024 à Média Congo Press (MCP), le président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, est sur une chaise éjectable.
Une pétition est en gestation pour faire sauter le président de l’Union pour la nation congolaise (UNC) du perchoir de la chambre basse du Parlement.
De la cause de la pétitionC’est le silence suspect de Kamerhe vis-à-vis de la vision du chef de l’État Félix Tshisekedi sur la révision, modification ou changement de la Constitution.
Objectif de la pétitionTous les partenaires de Félix Tshisekedi sont obligés de se prononcer sur la question relative à la révision constitutionnelle dont le combat s’annonce déjà très rude après le bloc créé par l’opposition.
Bemba, Bahati, Sama et Mboso devront donc s’exprimer à ce propos, s’ils soutiennent ou non la démarche du chef de l’État.

Matata Ponyo Critique le FMI pour Détournement de Fonds en RDC

2024-11-132024-11-132024-11-132024-11-13Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/augustin_matata_ponyo_243.pngDans une publication ce mardi 12 octobre dans la revue scientifique « Congo Challenge », l’ancien premier ministre Matata Ponyo Mapon fustige la complaisance des institutions de Bretton Woods face à la gestion « catastrophique » des fonds alloués à la République démocratique du Congo (RDC).
Matata Ponyo pointe du doigt le Fonds Monétaire International (FMI) qui continue de prélever des fonds au profit du Congo, malgré la « dilapidation » des ressources en question.
Il conclut la revue et procède au décaissement des fonds alors que les critères ne sont pas respectés.
Le peuple congolais est conscient que le FMI est complaisant et qu’il accompagne les autorités congolaises dans les détournements de fonds publics ».
Toutefois, l’élu de Kindu estime que la RDC a aussi une grande part de responsabilité dans cette situation.

Changement de la constitution : « Le moment venu, le dernier mot reviendra à notre peuple » ( Félix Tshisekedi)

« Le moment venu, le dernier mot reviendra à notre peuple.
Changement de la Constitution : Vous êtes un grand peuple, vous savez ce qui est bien pour vous et ce qui n’est pas bien », a-t-il déclaré.
Parlant de la sécurité du pays, le chef de l’État a insisté sur le fait que les dispositions sont prises pour sécuriser le pays mais aussi les provinces.
« Nous avons beaucoup d’ennemis qui sont, pour certains, dans les pays voisins et qui ont trouvé des complices à l’intérieur de notre pays pour déstabiliser la RDC.
Et parmi les provinces les plus visées, nous avons le Grand Katanga et particulièrement le Tanganyika.

Révision de la Constitution : “Hier, elle a été changée, aujourd’hui, elle peut l’être” (Fifi Masuka)

2024-11-222024-11-222024-11-222024-11-22Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/18-24/fifi_masuka_241.pngLa Gouverneure de la province du Lualaba, Fifi Masuka Saini, a récemment exprimé son opinion sur une éventuelle révision ou un changement de la Constitution de la République démocratique du Congo (RDC).
Lors d’une intervention publique, elle a souligné son soutien à la vision du chef de l’État tout en appelant à une réflexion collective et pragmatique sur cette question sensible.
Une ouverture à l’adaptation constitutionnellePour Fifi Masuka, la Constitution n’est pas immuable.
“Hier, elle a été changée, aujourd’hui, elle peut l’être”, a-t-elle affirmé, insistant sur la nécessité de considérer les avantages potentiels qu’une modification pourrait apporter à la société congolaise.
“Nous donnerons notre avis, que ce soit pour le changement ou la révision.

Etats généraux de la justice : les syndicats des magistrats constatent “la théâtralisation” dans le déroulement et ne croient plus à l’issue favorable des travaux

2024-11-122024-11-122024-11-122024-11-12Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/11-17/constant_mutamba_etats_generaux_de_la_justice_241.jpegLes syndicats des magistrats de la République démocratique du Congo qui prennent également part aux Etats généraux de la justice, ne croient plus à l’issue favorable de ces assises.
Dans un communiqué conjoint publié ce lundi 11 novembre, ces syndicats à l’occurrence le Syndicat autonome des magistrats du Congo (Synamac), la Justice indépendante (Jusi), le Syndicat chrétien des magistrats du Congo (Synchremac) et le Syndicat des magistrats du Congo (Symco) soulèvent plusieurs irrégularités qui handicapent le déroulement normal de ces travaux.
Concernant les irrégularités observées, les syndicats des magistrats de la RDC notent que :1.
La très faible prise en charge des participants, en particulier les magistrats venus des provinces ;4.
La sélection intéressée et orientée des intervenants et des thèmes développés en panels ;5.

Malgré les pressions de la RDC : l’UE renouvelle son aide financière aux troupes rwandaises au Mozambique

2024-11-202024-11-202024-11-202024-11-20Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/18-24/rwanda_militaires_242.jpgL’Union européenne a renouvelé son aide financière aux troupes rwandaises engagées dans la lutte contre le terrorisme au Mozambique, malgré les critiques récurrentes de la République démocratique du Congo.
Pour Kinshasa, l’octroi de nouveaux financements à l’armée rwandaise serait donc un soutien à une force accusée d’être impliquée dans le conflit au Nord-Kivu et un signe de plus de la connivence de Bruxelles avec Kigali.
Pour l’UE, la lutte contre l’insurrection islamiste au Mozambique, menée par le Rwanda, et les combats dans l’Est de la RDC, où le Rwanda joue également un rôle, sont deux sujets distincts.
Pour rappel, les Européens avaient déjà déployé une aide financière de 20 millions d’euros en décembre 2021 pour aider les troupes et les policiers rwandais à intervenir dans la province mozambicaine de Cabo Delgado, une somme de 15 millions d’euros avait été ajoutée pour la mission de la communauté de développement d’Afrique Australe.

« La Constitution n’est pas une bible, elle peut être révisée ou changée » (Steve Mbikayi)

Il réagit à l’interpellation et la brutalisation de l’honorable Delly Sesanga lors de la manifestation de son groupe politique contre le changement constitutionnel.
Sur le plan politique, Steve Mbikayi a réaffirmé son soutien au changement de la Constitution, en soulignant qu’il ne considère pas ce texte comme une « bible ».
Faire en sorte que nous puissions garder le pouvoir pendant même 50 ans, démocratiquement !
», a-t-il affirmé, évoquant une vision à long terme pour son camp politique.
Selon lui, cette réforme est cruciale pour le développement politique et institutionnel de la RDC.

Accepter les Notifications pour ne pas rater les news de la RDC OK No