Sortie prochaine de l’album ”RDG” pour redonner au rap ses lettres de noblesse

Aujourd’hui, les Congolais, nouveaux vainqueurs, doivent écrire eux-mêmes leur histoire », a déclaré le professeur Mathieu Zana Etambala, historien congolais, au cours du débat qui a suivi la projection.
Le film « Panda Farnana, un Congolais qui dérange » retrace la vie de ce Congolais, né dans l’actuelle province du Kongo central, et arrivé en Belgique en novembre 1895, à l’âge de sept ans.
Il est ensuite envoyé au Jardin botanique d’Eyala, dans la province de l’Equateur puis à la Station agricole de Kalamu près de Boma, au Kongo central.
Plus tard, grâce à un prêtre jésuite travaillant aux Etats-Unis, Paul Panda entre en contact, en 1922, avec les milieux afro-américains.
Il s’engage dans les combats sociaux et les revendications humanistes, décriant notamment les atrocités dans la colonie, les enlèvements des enfants métis de leurs parents et la débauche des colons sur les femmes noires.

« Cet institut supérieur médical fait partie des rares institutions bénéficiaires de ce soutien, alors qu’il n’est pas membre de cette organisation islamique », a-t-il ajouté.
Lors de la signature de ce protocole d’accord, le DG Iyeli Katamu était également accompagné d’une autre enseignante de l’ISTM-Mbandaka, Pr Brigitte Katshiete Mbuisi.
Les professeurs accompagnateurs ont été parmi les invités de marque du secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, note-t-on.
La cérémonie de signature du protocole d’accord de bourses « Excellence Dr. Mohammed bin Adbulkarim Al-Issa » s’est déroulée lors de la conférence internationale intitulée: « L’éducation des filles dans les communautés musulmanes, défis et opportunités ».
Il organise les filières d’études en Licence (LMD et ancien système) et en Masters dans quatre sections et douze départements ou orientations.

2024-12-182024-12-182024-12-182024-12-18Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/12-decembre/16-22/cyberhaine_a_wallonie_bruxelles_24.jpgDans l’objectif de sensibiliser la jeunesse sur la lutte contre la cyberhaine, la structure “Action pour le changement social et structurel” en collaboration avec le Centre Wallonie Bruxelles a organisé ce mardi 17 décembre, un atelier d’échange autour du thème : “De quelle manière la lutte contre la cyberhaine peut promouvoir la cohésion sociale”.
“Beaucoup de gens sont victimes de la cyberhaine mais sont incapables de dénoncer.
On voulait inciter la jeunesse à dénoncer certains faits liés à la cyberhaine jusqu’à ce que les autorités compétentes vont prendre des dispositions pratiques pour mettre fin à ce fléau.
La cyberhaine peut exposer les personnes qui en sont victimes à la discrimination, aux abus et à la violence, mais aussi à l’exclusion sociale et économique”, a-t-il dit.
Et de poursuivre : “Si elles ne sont pas maîtrisées, les expressions de haine peuvent même nuire aux sociétés, à la paix et au développement, car elles ouvrent la voie à des conflits, à des tensions et à des violations de droits de l’homme, y compris à des atrocités criminelles”, a expliqué Hilaire Mbiye.