CAN Handball Féminin 2024 : la RDC bat le Congo-Brazzaville et termine à la 5e place

Un militaire des Forces armées de la RDC (FARDC) affecté à la sécurité de l’entreprise minière Yellow Stone, à capital chinois, a été présenté à la presse et à la population ce jeudi 5 décembre à Kamituga, après avoir été arrêté pour le meurtre d’un citoyen.
L’incident s’est produit le 3 décembre 2024 sur le site minier de Yellow Stone, à Lugushwa, où le militaire a ouvert le feu sur Alphonse Lupeta, un habitant local, entraînant sa mort sur le coup.
« Nous exigeons l’ouverture d’un procès contre ce militaire et ses complices chinois de la société minière Yellow Stone, illégalement installée à Lugushwa », déclare-t-il.
« Ce militaire a été présenté aujourd’hui à la population de Kamituga.
À l’Assemblée provinciale du Sud-Kivu, les députés ont observé une minute de silence en mémoire d’Alphonse Lupeta, tout en appelant à une justice exemplaire pour la victime.

Il s’agit d’un évènement ludique et culturel dédié à la jeunesse et à la paix en République Démocratique du Congo.
Participant comme sponsor à cette édition, la marque de paris sportifs Betpawa, basée dans 17 pays en Afrique, à travers la signature d’un partenariat avec la Fédération Congolaise du Football Association ( FECOFA) s’est engagée dans le développement et la promotion du football en République Démocratique du Congo.
L‘initiative phare Locker Room Bonus, est un programme de Valorisation des Talents et de l’Organisation Sportive, conçu pour soutenir les joueurs et les structures pour des performances durables.
Le LRB promeut aussi l’égalité et la diversité dans le sport.
A noter que dans l’équipe de la «RDC All Stars», il y avait également des artistes musiciens et comédiens bien connu dans la sphère artistique nationale congolaise.

Kinshasa, 23 décembre 2024 (ACP).- La discrimination et la stigmatisation des hommes aux longs cheveux à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), a été fustigée par un artiste designer lundi dans un entretien.
Ce n’est pas parce que mes cheveux sont longs que je suis un voyou ou un bandit.
Selon lui, ses cheveux longs contribuent à son image professionnelle, bien qu’il a déjà été interpellé à plusieurs reprises dans les rues de Kinshasa à cause de ses locks.
Il appelle la société à reconnaître la diversité des styles et à respecter les droits de chacun à s’exprimer à travers son apparence.
Manassé Nsingi estime que la question de l’identité et de l’acceptation est cruciale dans un paysage socioculturel tel que la République démocratique du Congo.