RDC : Un appel d’offres pour l’acquisition de radars de contrôle aérien

Avant de répondre à ces questions essentiellement axées sur la partie Est du pays, le ministre Gisaro a tenu à présenter le cadre général du secteur routier sur l’ensemble du pays.
Dans son exposé, le patron des ITP a révélé à la représentation nationale que le réseau routier de la RDC présente un linéaire total de 153.000 kilomètres, dont 58.000 d’intérêt général et sur lesquels environ 3.000 km sont revêtus, soit près de 5% seulement du linéaire d’intérêt général.
“Notre réseau routier national présente un linéaire total de 153.000 kilomètres, dont 58.000 d’intérêt général et sur lesquels environ 3.000 km sont revêtus, c’est-à-dire près de 5% du linéaire d’intérêt général.
Congo, devient encore plus faible si l’on compare les 3.000 km revêtus à l’ensemble du réseau national de 153.000 km, qui comprend, à la fois, des routes nationales, des routes d’intérêt provincial et des routes de dessertes agricoles, toutes aussi importantes”, a-t-il révélé.
Cette faible connectivité de réseau routier est dûe, selon le ministre des ITP, au manque d’investissements de manière suffisante dans les infrastructures routières.

2025-01-212025-01-212025-01-212025-01-21Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/13-19/shampiongchev.jpgSe débarrasser des pellicules nécessite des soins adaptés et une routine régulière.
1- Choisir un shampooing antipelliculaire adaptéOptez pour un shampooing contenant des ingrédients actifs comme :- Pyrithione de zinc : combat les champignons responsables des pellicules.
2- Utiliser des soins naturels complémentaires- Huile de coco : hydrate le cuir chevelu tout en ayant des propriétés antifongiques.
3- Soins spécifiques- Faites un gommage doux du cuir chevelu une fois par semaine pour éliminer les cellules mortes.
4- Adopter une bonne routine capillaire- Ne lavez pas vos cheveux tous les jours, cela peut assécher le cuir chevelu et aggraver les pellicules.

Or trois de ses neuf sièges sont vacants en raison du départ à la retraite de leurs titulaires l’automne dernier.
Les trois nouveaux juges devaient en principe être nommés par le président jeudi parmi les candidats choisis par l’Assemblée nationale, contrôlée par l’opposition.
Si la motion déposée par l’opposition est adoptée, il s’agira de la première destitution d’un président par intérim après celle du président titulaire dans l’histoire de la Corée du Sud.
Le ministre des Finances, Choi Sang-mok, deviendrait alors le nouveau président par intérim.
La Constitution sud-coréenne dispose que l’Assemblée nationale peut destituer le président par un vote à la majorité des deux tiers, et le premier ministre et autres membres du gouvernement à la majorité simple.