Eve Bazaiba lance le Programme national d’afforestation et de reboisement

A l’occasion de la célébration de la journée nationale de l’arbre, jeudi 5 décembre, le ministre de l’Environnement et Développement durable, Eve Bazaiba, a lancé le Programme national d’afforestation et de reboisement (PRONAR-RDC).
Ce programme, a-t-elle précisé, est lancé conformément à la Décennie mondiale et africaine d’afforestation et reboisement (DAMAR), « afin de poursuivre l’atteinte des objectifs du Défi de Bonn à l’horizon 2030, comme contribution de la RDC-Pays Solution, au maintien de l’équilibre climatique pour la survie planétaire ».
Elle a ainsi loué les grandes richesses naturelles de la RDC ainsi que leurs contributions à l’échelle locale et planétaire.
EcocitoyennetéElle a par ailleurs appelé au développement en RDC de la mentalité d’écocitoyenneté, « celui de protéger nos patrimoines écologiques et écosystèmes forestiers et celui d’avoir des gestes responsables en faveur de la l’environnement se développer dans nos actions individuelles et collectives pour garantir la survie planétaire et assurer un développement résilient et durable pour notre communauté ».
Pour la ministre, chaque citoyen doit se faire le devoir civique de planter et de protéger l’arbre.

Musique : Evoloko Lay Lay sort la chanson « Un verre à deux anti-poisons »

Patron de l’orchestre Langa Langa Stars, Antoine Evoloko Lay Lya a renoué, il y a quelques jours, avec le marché de disques, après plusieurs années de léthargie.
Il vient de mettre sur les bacs la chanson intitulée : « Un verre à deux anti-poisons ».
Ce tube récolte du succès et lui a valu quelques contrats dont le contrat de production, chaque week-end, chez Champagne bar, commune de la Gombe, à Kinshasa.
A Radio Okapi, Evoloko dit « Joker » revienne sur sa carrière musicale et surtout ses débuts au sein de Zaiko Langa Langa.
Kaki Akiewa l’a rencontré dans son fief de Yolo, commune de Kalamu, baptisée « Dallas ».

Insécurité à Oicha : la société civile exhorte l’armée à prendre au sérieux les alertes de la population

La société civile de la commune rurale d’Oicha appelle les Forces armées de la RDC (FARDC) à tenir compte des alertes sécuritaires de la population pour mieux protéger cette dernière.
Le président de la société civile d’Oicha, Isaac Kavalami, appelle également les autorités à accorder la même attention tant à la menace des ADF qu’à celle du M23.
« Ceux qui sont censés protéger la population disposaient des informations, mais malheureusement, elles n’ont pas été prises en compte.
Nous regrettons également que l’on accorde la priorité au M23 tout en négligeant la menace des ADF, qui est tout aussi importante.
C’est pourquoi nous lançons un appel à la vigilance de la population », s’indigne quelque peu le président de la société civile d’Oicha.

Lubero : accrochages entre les FARDC et le M23 entre deux villages

Pas de répit dans les combats qui opposent les FARDC aux rebelles du M23.
Ce jeudi 5 décembre, l’armée et ces rebelles se sont affrontés entre les villages de Mighobwe et Matembe, à quelques kilomètres de Kirumba, dans le sud du territoire de Lubero (Nord-Kivu).
D’après les sources de la société civile, des détonations d’armes lourdes étaient entendues dans plusieurs villages situés le long de la route nationale numéro 2, entre Kirumba et Lubero-centre.
Une bombe est tombée à Kaghote, un village proche de Kirumba, sans causer des dégâts.
La situation reste confuse sur les différentes lignes de front.

Embouteillages à Kinshasa, ces nouvelles mesures sont une réussite (Bemba)

Les uns les décrient et les autres les trouvent salutaires.
4 causes d’embouteillagesComme pour se défendre, il évoque « 4 piliers (ou causes, à la base des embouteillages à Kinshasa).
Autour du boulevard, il y a 19 avenues qui sont impraticables, surtout quand il pleut, les gens préfèrent ne pas les prendre ».
Ils vont se terminer dans trois semaines, maximum un mois et il y aura une plus grande fluidité.
Favorable donc à la révision Constitutionnelle, « je vois 4 articles qui pourraient nous aider à évoluer (s’ils étaient retouchés).

Constitution : P. Epenge révèle que 100 millions dollars ont été déboursée pour acheter l’accord de Kamerhe, Bemba et Bahati

2024-12-052024-12-052024-12-052024-12-05Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/prince_epenge_bemba_bahati_kamerhe_constitution.jpgPrince Epenge, le porte-parole de la coalition Lamuka a révélé qu’une somme importante de 100 millions de dollars a été déboursée pour acheter l’accord des certains leaders des formations politiques de l’Union sacrée de la nation pour changer la constitution.
« 100 millions de dollars américains pour acheter l’accord des leaders du MLC, UNC et AFDC pour changer la constitution ?
Quel gâchis !pour changer la constitution.
Engagé dans une campagne nationale pour le changement de la constitution, le président de la République, Félix Tshisekedi, est sous le feu des critiques de l’opposition et de la société civile congolaise.
Ils l’accusent de dilapider les ressources publiques pour préparer un troisième mandat à travers une réforme constitutionnelle controversée.

RDC : le taux d’inflation passe de 0,10% à 0,097% au 29 novembre 2024

«Sur le marché des biens et services, au cours de la quatrième semaine du mois novembre, le taux d’inflation a connu une légère baisse en s’établissant à 0.097% la semaine du 22 au 29 novembre contre 0,10%, la semaine précédente», a-t-on lu.
Selon la source, le taux d’inflation, en rythme mensuel, s’est établi à 0,41% contre 0,57% le mois précédent.
Par ailleurs, la note a renseigné que le taux d’inflation, en glissement annuel à atteint 12,78% et, en annualisée, elle est projetée à 11,91%, contre un objectif de 12,06% à fin décembre 2024.
Les fonctions « Logement, eau, électricité, gaz, et autres combustibles », « Transports », « Restaurants et hôtels » et « Biens et Services »ont contribué, respectivement à 20,36 %, 10,52 %, 7,18 % et 9,49 %.
Il sied de rappeler qu’à la quatrième semaine du mois de novembre 2023, le taux d’inflation hebdomadaire s’est établi à 1,095% contre 0.157% la semaine précédente.

Commerce extérieur: le prix du caoutchouc en baisse de 1,79%

«Le prix du caoutchouc connait une baisse sur les marchés internationaux, au cours de la période du 2 au 7 décembre 2024.
Ce produit agricole se négocie à 1,10 USD, la période sous examen contre 1, 12 USD la période précédente, soit une baisse de 1,79% le kilogramme», a-t-on lu dans un communiqué du Commerce extérieur.
Selon ce document, outre le caoutchouc, un (1) autre produit agricole et menu forestier marchand connaît aussi une baisse sur les marchés internationaux, à savoir: le café Robusta.
Ce produit agricole se négocie à 5,11 USD, la période du 02 au 07 décembre 2024, contre 5,41 dollars américains, la période précédente, soit une baisse de 5,55%.
La hausse, la baisse et la stabilité des prix des produits miniers marchands, agricoles et menus forestiers, souligne la source, sont consécutives à l’offre et la demande sur les marchés internationaux et de la chaîne d’approvisionnement.

Gestion des épidémies en RDC : une nouvelle approche lancée à Kinshasa

Kinshasa, 05 décembre 2024 (ACP).- Une nouvelle approche dénommée « Seven one seven » pour la gestion efficace des épidémies, a été lancée à Kinshasa en République démocratique du Congo par l’Institut national de santé publique (INSP) à travers le Centre des opérations d’urgence en santé publique (Cousp), en collaboration avec l’ONG internationale PATH, a appris l’ACP jeudi d’un communiqué« Seven one seven » est une nouvelle approche dans la gestion d’urgence qui vise la détection précoce des événements dans 7 jours, la notification dans 1 jour et le lancement de la réponse initiale également dans 7 jours pour améliorer la gestion des épidémies en RDC.
Cette approche s’aligne sur le règlement sanitaire international et l’approche ‘’Une santé’’ », a-t-on lu dans ce communiqué.
Et l’approche « Seven one seven » est une approche innovatrice qui va aider le Cousp à répondre plus rapidement et plus efficacement aux urgences de santé publique.
Parce que le temps crée des impacts négatifs en rapport avec l’urgence en santé publique », a-t-il dit.
« Il faudrait que nous nous conformons pour que nous puissions améliorer la détection et la notification ainsi que la qualité de la réponse aux urgences de santé publique dans notre pays », a-t-il insisté.

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