Justice : la Haute Cour militaire confirme la peine de mort pour cinq membres de l’AFC de Naanga

La Première ministre Judith Sumiwa a effectué, jeudi 26 décembre, une ronde d’inspection des travaux de réhabilitation et constructions de la voirie urbaine de Kinshasa.
Elle a voulu ainsi s’enquérir de l’évolution sur les différents chantiers où s’exécutent ces travaux.
A la première étape de cette tournée, Daniel Bumba et Judith Suminwa sont passés sur l’avenue Kulumba en pleine construction, dans la commune de Masina.
Leur itinérance s’est poursuivie sur l’avenue Flambeau, en passant par Tombalbaye, Wangata, Kabambare, Zigida puis sur l’avenue Kisangani à Bandal pour chuter à Pumbu à Gombe.
La Première ministre et le gouverneur de Kinshasa ont constaté sur l’avenue Colonel Ebeya que le béton a déjà été coulé entre les avenues des Huileries et Wangata.

2024 (ACP).- 12 bandits urbains, dits « Kuluna », ont été condamnés à 20 ans de servitude pénale principale pour terrorisme, au terme d’une audience organisée, par le tribunal militaire de garnison de Kinshasa-Matete, en République démocratique du Congo, siégeant en procédure de flagrance, a constaté l’ACP vendredi.
« Vu l’Ordonnance-loi n° 118/005 du 04 février 1978 relative à la répression des infractions flagrante (….)
Le tribunal a, par contre, déclaré non coupable du terrorisme les prévenus Plamedi Maboke, Obed Kibungila et Manzila, les en acquitte purement et simplement, avant d’ordonner leur libération immédiate.
Prenant la parole à son tour, la défense a plaidé non coupable.
« Nous plaidons non coupable faute des preuves et nous vous demandons d’acquitter tous les prévenus », a plaidé l’un des avocats de la défense.

Les affrontements entre les rebelles du M23 et les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont conduit à une restriction significative de l’accès humanitaire dans plusieurs zones du territoire de Kalehe, au Sud-Kivu.
Ces restrictions compliquent la situation humanitaire déjà critique, selon une mise à jour publiée par OCHA ce mardi.
Ces limitations freinent la livraison de l’aide humanitaire et les déplacements des populations affectées.
En réaction à la détérioration de la sécurité, une vingtaine d’organisations humanitaires basées à Minova ont suspendu temporairement leurs activités, selon une réunion de crise tenue le 20 janvier.
“Nous devons garantir la sécurité de nos équipes avant toute reprise des opérations,” a indiqué un responsable humanitaire basé à Minova.