Kwango : une maladie inconnue tue 79 personnes (ministère de la Santé)

La Communauté des assemblées chrétiennes Voici l’homme (CAC – VH) invite la population à un réveillon, ce mardi 31 décembre 2024, en la Place de l’Échangeur de Kinshasa, en République démocratique du Congo.
S’agissant de la Sainte-Cène, le pasteur Francois Mutombo a indiqué qu’elle constitue un devoir sacré pour tout chrétien.
« Parmi les devoirs sacrés, Jesus a dit : chaque fois que vous mangez ce pain, vous buvez de la coupe , vous célébrez ma mort jusqu’à ce que je reviennes.
Donc, c’est-à-dire la Sainte-Cène , c’est parmi les recommandations de Jesus que l’église est sensée observer à la lettre , surtout que ça touche à la doctrine.
La Sainte-Cène, ça déclenche beaucoup de choses : la délivrance , la guérison , la maternité , le mariage , etc .

Le vote s’est déroulé dans le calme.
L’ouverture de certains bureaux en retard, à la suite des problèmes techniques dans la cité de Masi-Manimba, n’a pas empêché les électeurs d’attendre, dans la discipline et avec patience, le début des opérations électorales.
Il s’agit principalement de certains opérateurs de saisie qui avaient obtenu des cartes d’électeurs dans des centres où ils étaient déployés pour des opérations.
Pour les cinq sièges à pourvoir à la députation nationale, 302 candidats sont en course et 571 pour les huit sièges des législatives provinciales.
C’est à la CENI, après compilation des résultats, que reviendra la charge de publier les noms des élus.

Depuis plusieurs années, Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo et siège des institutions nationales, a perdu son surnom de “Kinshasa la Belle”.
En août 2024, à peine entré en fonction, le gouverneur de la ville, Daniel Bumba Lubaki, lançait l’opération “Coup de Poing” pour assainir la ville en profondeur.
Elle a notamment recommandé des actions ciblées, comme le curage des caniveaux dans des zones identifiées comme prioritaires.
Dans le passé, Kinshasa a bénéficié de divers projets d’assainissement, tels que Kinshasa Bopeto sous le gouvernorat de Gentiny Ngobila, sans pour autant atteindre les résultats escomptés.
Les autorités provinciales pointent souvent un manque d’accompagnement du gouvernement central comme principal obstacle à la mise en œuvre efficace de ces initiatives.