Félix Tshisekedi, Joe Biden, Joâo Lourenço et Hakainde Hichilema parlent du Corridor de Lobito

Kinshasa, 17 janvier 2025 (ACP).- Les travaux d’élargissement à quatre bandes d’une partie de l’avenue de Libération (ex 24 Novembre), compris entre l’arrêt Bambole et le marché Selembao dans le centre de Kinshasa capitale de la République démocratique du Congo, ont été annoncés vendredi, lors d’un entretien par un architecte en génie civil du ministère provincial des Infrastructures et travaux publics.
« Nous avons commencé à Kimbondo dans un premier temps parce que c’est à cet endroit que nous avions trouvé un espace pour installer le chantier.
Il a, en outre souligné que la durée des travaux n’est pas bien définie pour l’instant et elle va être déterminée avec exactitude, lorsque l’entreprise va finaliser l’élaboration du planning desdits travaux.
Ces travaux sont exécutés par l’entreprise de construction Malta Forest, sous la supervision du ministère provincial des infrastructures et travaux publics sur un tronçon de 8,6km compris entre le rond-point Moulaert à Bandal et le rond-point Upn à Ngaliema.
« Cette route sera reconstruite en béton armé par la société Malta Forest et sera composée de 2×2 bandes bordées par des caniveaux et des trottoirs pour piétons », a renseigné Sébastien Kilandana Malumba.

Au total 14 civils congolais, otages des rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) ont réussi à échapper ce vendredi 13 décembre dans la région de Beni-Mbau au Nord-Kivu, suite à une opération des forces armées.
Cet événement survient près de la forêt de Tingwe, dans un territoire longtemps marqué par l’instabilité et la violence.
Selon l’armée congolaise, ces ex-otages sont arrivés sains et saufs dans la cité d’Eringeti, marquant un moment de soulagement pour leurs familles et la communauté locale.
La région du Nord-Kivu continue de faire face à des défis sécuritaires majeurs, avec la présence persistante de groupes armés comme les ADF.
Depuis juillet de cette année, plus de 200 otages des ADF ont été libérés dans les régions de Beni et Irumu suite aux opérations conjointes entre les armées congolaise et ougandaise.

Et qu’en est-il en République démocratique du Congo (RDC), alors que les VBG toucheraient environ 7 % de sa population ?
Mais tout d’abord qu’entend-on exactement par ces 16 jours d’activisme contre les VBG ?
L’objectif est de sensibiliser à la problématique des VBG, de contester les attitudes discriminatoires et de plaider pour de meilleures lois et des services renforcés afin d’éliminer durablement ces abus.
Elles se manifestent sous différentes formes, selon les régions et les contextes.
Les 16 jours d’activisme offrent une occasion unique de briser le silence autour des VBG en RDC.