Robinio Mundibu choque le public en publiant une vidéo du tournage de son clip Angola

Kinshasa, 9 décembre 2024 (ACP) – Le clip de la chanson intitulée » Rudiya » (Reviens), tiré du single du groupe Darhash de la République démocratique du Congo, a été lancé lundi sur toutes les plateformes de téléchargement légales, a annoncé l’un des interprètes de la chanson joint lundi par l’ACP.
« » Rudiya », c’est le titre phare de notre troisième album.
Le message principal de cette chanson qui est déjà sur notre chaîne YouTube, est d’encourager la pratique du pardon et de la réconciliation amoureuse afin d’assainir le cœur de ses rancœurs », a déclaré Héritier Bahunga, un des artistes interprètes de la chanson » Rudiya »« Tout le monde a droit à une deuxième chance.
Il faut savoir pardonner pour permettre au couple de repartir sur de nouvelles bases, plus saines, plus sincères et plus épanouissantes », a-t-il expliqué, avant d’indiquer que l’histoire relatée dans la chanson » Rudiya » est tirée d’un fait réel.
À son actif, le groupe a déjà mis sur le marché du disque deux singles à savoir, ‘‘Que dalle’’ et ‘‘Laugh and cry’’.

Kinshasa, 30 décembre 2024 (ACP).- Un concert du musicien Blaise Bamba alias Labamba de la République démocratique du Congo, a été programmé pour le 4 janvier 2025 à Montréal, ville du Québec au Canada, a-t-on appris lundi dans un entretien avec l’artiste.
« Ce 4 janvier, moi et mon groupe ‘‘Kotakoli’’, nous nous produisons à Montréal dans un concert initié par la communauté ivoirienne résidante au Québec », a déclaré l’artiste Blaise Labamba.
Diplômé de l’Institut national des arts (INA), Blaise Bamba, mieux connu sous le surnom de Labamba, est un artiste musicien, pianiste, auteur-compositeur et interprète de la République démocratique du Congo, résident à Montréal dans l’Etat du Québec au Canada.
Il y est installé, il y a près de vingt-cinq (25) ans, après avoir fait ses preuves au sein des orchestres ‘‘Tout chic Gombe’’ et ‘‘Big Stars’’ de feu Général Defao Matumona.
Depuis 2018, il évolue à la tête de son propre consortium musical, ‘‘Kotakoli’’, reparti en deux ailes dont l’une à Montréal et l’autre à Kinshasa.

La huitième édition de la Biennale de Lubumbashi, inaugurée le 24 octobre dernier, a choisi de se pencher sur la question de la toxicité sous toutes ses formes, notamment celle liée à l’exploitation minière, et son impact sur la population congolaise.
Elle participe également pour la première fois en tant qu’artiste à la Biennale de Lubumbashi.
Elle s’est rendue dans les quartiers proches de l’entreprise minière Ruashi Mining pour observer les effets de cette activité sur les populations, notamment les femmes et les enfants.
« J’ai exploré la toxicité en examinant comment elle affecte les femmes et les enfants à travers l’engrais, les radiations et la pollution minière.
Jenny Munyongamayi, fidèle à son engagement artistique inspiré par les réalités sociales, espère continuer à utiliser le slam pour sensibiliser le public à des problématiques cruciales.