Ils lancent, par conséquent, un appel à « toutes les forces politiques et sociales qui inscrivent leur action dans la lutte contre la dictature et pour le bien-être du peuple congolais à joindre leurs efforts aux leurs ».
Après avoir observé une grave crise politique, sécuritaire et socio-économique que traverse la RDC et ses conséquences sur la population, Joseph Kabila et Moïse Katumbi lancent « un appel pressant à la paix et à l’unité nationale, tout en soulignant l’importance et l’urgence du respect des droits fondamentaux, aujourd’hui bafoués, des citoyens, de la préservation de la démocratie et de l’État de droit qui ont laissé place à l’oppression et à la dictature ».
Joseph Kabila et Moïse Katumbi, partenaires de la majorité présidentielle de l’époque, ont connu le point de rupture dans leur rapport en 2015.
Cela lui a valu des démêlés judiciaires, allant jusqu’aux accusations d’atteinte à la sûreté de l’État.
Moïse Katumbi était alors contraint à l’exil et n’avait pas pu prendre part à la présidentielle de 2018.
Like this:
Like Loading...