Plus de 6 500 PVV sous ARV au Kasaï-Central en 11 mois

2025-01-122025-01-122025-01-122025-01-12Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/06-12/sankuru_lodja_hausse_litre_essence_12_jan_2025.jpgLes habitants de la cité de Lodja, chef-lieu du territoire éponyme dans la province du Sankuru, observent depuis quelques jours la hausse des prix du carburant et de certains produits de première nécessité.
Selon la société civile locale, l’impraticabilité de deux ponts situés sur la RN7 qui permettent l’acheminement des produits en provenance de Kinshasa serait à la base de cette situation.
Jean-Paul Ndiadi, président de la société civile force vive du Sankuru, appelle à l’intervention des autorités pour remédier à cette situation.
“Ce que nous demandons aux autorités tant nationales que locales, c’est d’avoir un regard très contrôlé sur les opérateurs économiques, producteurs de produits et aussi aux kadhafi.
Nous demandons aux autorités nationales et locales de vérifier et de voir le plus vite possible ce problème car ça dégénère”, a-t-il déclaré.

À l’en croire, la démarche de Félix Tshisekedi, président de la République, est plus que nécessaire pour la bonne marche du pays.
« L’actualité liée à la réforme constitutionnelle, une initiative utile pour la bonne marche et le développement de notre pays.
Nous, au MLC, nous disons Oui à la réforme constitutionnelle.
Ceci dépend de vous peuple, ce que vous voulez.
« Il vous revient à vous, nos cadres du MLC, de vulgariser cette idée par le relais de la bonne information.

Les sous-groupes des ADF, bien qu’opérant avec un certain degré d’indépendance, rendent systématiquement compte à Baluku, qui conserve une emprise ferme sur l’organisation.
Les grandes opérations des ADF nécessitent toujours l’autorisation de Baluku, qui reçoit après chaque attaque des rapports détaillés et des photographies, utilisés à des fins de décision stratégique et de propagande.
Par ailleurs, le groupe État islamique (Daech) s’intéresse de plus en plus aux activités des ADF dans l’est de la République démocratique du Congo.
Le délai entre une attaque et sa revendication a été considérablement réduit, atteignant parfois seulement 24 heures, ce qui témoigne d’une communication plus rapide et directe entre Daech et les ADF.
Ces développements indiquent une collaboration renforcée entre les ADF et Daech, renforçant les inquiétudes quant à l’expansion de l’influence terroriste en Ituri et au Nord-Kivu.