Paul Sakouvogi, un journaliste exerçant dans la ville, a déclaré à la BBC que l’Internet avait été coupé dans la région.
Ils n’autorisaient que le personnel médical à accéder à l’hôpital, tandis que les autres étaient priés de repartir comme ils étaient venus”.
Figurez-vous, de 18h jusqu’à 21h, les ambulances ne faisaient qu’amener des corps et les blessés », confie-t-il à la BBC.
Il précise que les services médicaux ont fait état de 56 morts et de plusieurs blessés, sans en déterminer le nombre.
Il est vrai que la manière dont les stades sont construits peut jouer un rôle dans la canalisation de la violence”, avait-il expliqué dans la presse guinéenne.
Auteur(s): mediacongo.net
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