Evaluation Environnementale et Sociale Stratégique (EESS) du programme de développement du Projet Inga 3 (PDI3) en République Démocratique du Congo (RDC)

« Il y avait une audience qui était fixée à ce jour à la Cour d’appel.
Lors de l’audience, il a été constaté que la République n’avait pas été notifiée de la date.
Et, par voie de conséquence, la cour ne pouvait logiquement pas procéder, c’est pour ça qu’elle a souhaité renvoyer cette affaire.
Tout le débat a tourné autour du fait que la partie prévenu voulait que la prochaine audience se tienne à la huitaine, mais cela tombait le vendredi 17 janvier, donc un jour férié.
C’est ainsi que nous avons sollicité à la cour de la programmer dans deuxième semaine, soit le 24 », a dit, à ACTUALITÉ.CD, maître Emango.

Kinshasa, 05 janvier 2025 (ACP).– Des marchés pirates le long du boulevard Lumumba à N’sele, dans l’Est de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, ont été évacués samedi, par le bourgmestre de cette municipalité afin de soutenir le programme du gouvernement provincial » Kin ezo bonga « .
« Pour ce début de l’année, nous avons commencé à évacuer les marchés pirates érigés tout le long du boulevard Lumumba, pour rendre la commune de N’sele propre.
Selon eux, pour mieux vendre il faut rester le long du boulevard : or ils salissent la chaussée et le trottoir, tout en s’exposant à de multiples dangers », a-t-il dit.
Selon le bourgmestre, le curage des caniveaux peut s’effectuer une seule fois le mois si les commerçants n’envahissent pas la chaussée, car ils déversent également des détritus dans les collecteurs d’eau.
Des marchés pirates érigés le long du boulevard Lumumba ont été évacués le mois de décembre dernier par le bourgmestre de Kimbanseke toujours dans le cadre de l’opération « Kinshasa ezo bonga », initié par l’autorité urbaine.

« On estime, jusqu’à dix mille personnes qui se sont rassemblées dans l’enceinte de l’hôpital qui n’est pas un énorme hôpital ; l’espace est assez réduit.
Mais, nos équipes sont restées vraiment mobilisées, et sont parvenues à garantir la continuité de ces activités », affirme M. Goetghebuer.
Depuis quelques semaines, des déplacements massifs des populations sont signalés à la suite de l’intensification des combats dans le Masisi.
MSF alerte sur la dégradation de la situation humanitaire et sanitaire, et tire la sonnette d’alarme alors que la situation sécuritaire reste volatile dans cette région en dépit de l’accalmie observée ces derniers jours.
Parce que pour pallier cette incertitude, à la crainte que ces combats génèrent ; la population s’est déplacée.