Beni : l’armée congolaise remet 40 ex-otages des ADF à la société civile et la Monusco pour leur réintégration dans la communauté

Ces tentatives consistaient en des connexions non autorisées, des logiciels malveillants et des tentatives d’exploitation de failles pour accéder à des informations sensibles ou manipuler les systèmes.
Le président de la CENI a précisé que l’origine des attaques a été identifiée comme provenant principalement de l’étranger, notamment des États-Unis, de Hong Kong et de la France.
Malgré l’ampleur de cette offensive numérique, le président de la CENI a affirmé que les systèmes informatiques de l’institution avaient résisté à ces tentatives grâce à des mesures de sécurité renforcées et des pare-feux sophistiqués.
« Ces attaques ne visent pas seulement nos systèmes, mais également la crédibilité de l’élection elle-même », a déclaré le président de la CENI, soulignant l’importance de garantir la transparence et la fiabilité du processus.
Les électeurs sont appelés à maintenir leur confiance dans le processus malgré ces tentatives de déstabilisation.

L’élu de Kindu a fait savoir dans un tweet relayé par le journaliste Stanys Bujakera, que les dirigeants congolais ont choisi le sous-développement et veulent justifier leur malheur par la mauvaise foi de changer la Constitution.
“La RDC, notre pays, se trouve malheureusement rangée dans cette dernière catégorie des pays qui ont choisi le sous-développement, et qui cherchent à justifier leur malheur par la mauvaise foi de vouloir changer la Constitution.
La situation dans laquelle nous sommes n’est nullement liée à la Constitution.
Cette campagne vise à sensibiliser la population sur la compréhension de la Constitution, pour qu’elle puisse mieux la défendre et la protéger.
Elle est organisée dans le cadre de la quatrième édition de l’Université congolaise de l’engagement citoyen, un espace de promotion de l’engagement citoyen pour la démocratie, la paix et la bonne gouvernance.

2024-12-152024-12-152024-12-152024-12-15Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2024_actu/11-novembre/25-30/processus_de_paix_a_luanda_kenyatta_lourenco_tshisekedi_dec_15_2024.jpgSuite à l’échec de la rencontre tripartite entre Félix Tshisekedi, João Lourenço et Paul Kagame en Angola, la RDC a, dans un communiqué de presse, condamné fermement les manœuvres du Rwanda, qui a boycotté la rencontre prévue ce dimanche 15 décembre.
Dans ce texte, la RDC dénonce une « attitude irresponsable et provocatrice » du gouvernement rwandais.
À la dernière minute, le Rwanda a exigé que des pourparlers directs soient engagés entre le gouvernement congolais et le M23, une condition qui, selon le communiqué, va à l’encontre des discussions antérieures.
“En introduisant cette condition de dernière minute, contraire aux discussions précédentes, le Rwanda démontre, une fois de plus, son soutien inconditionnel au M23”, indique le texte.
Ce comportement nuit non seulement à la stabilité régionale, mais constitue également une violation des principes convenus dans le cadre des initiatives internationales et régionales.”