Year: 2025

Les populations des territoires de Beni et de Lubero dans le Nord-Kivu ont passé le réveillon de la Saint Sylvestre entre détresse et psychose.
C’est notamment en raison de l’activisme des rebelles des ADF et de ceux du M23.
Le mercredi, premier jour de l’an, l’on a assisté à un déplacement massif de populations dans plusieurs villages du secteur des Bapere dans le Lubero.
Dans notre secteur, nous sommes en train de compter au-delà de 650 compatriotes qui ont péri dans ces atrocités des ADF.
Dans la nuit de dimanche à lundi, les rebelles des ADF ont ciblé la localité de Matombo, tuant sept personnes.

“Inspiré par Daesh”Un drapeau de Daesh a été trouvé dans le véhicule.
“Le FBI travaille à déterminer les associations et affiliations potentielles de l’individu avec des organisations terroristes”, peut-on encore lire dans le communiqué de la police fédérale.
Un casier judiciaireLors d’une conférence de presse, l’agente du FBI Alethea Duncan a déclaré que le suspect avait un casier judiciaire.
“Je suis né et j’ai grandi à Beaumont, au Texas, et je vis maintenant à Houston.
Il dit avoir travaillé pour l’armée dans le secteur des “ressources humaines” et “IT” (informatique).

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/mamadou_ndala_colonel_25.pngCe 2 janvier 2025, 11 ans sont passés depuis que le colonel Mamadou Ndala, présenté comme un militaire déterminé, engagé et sincère, était assassiné.
Mamadou Ndala dirigeait les opérations militaires contre les rebelles ougandais des ADF et tous les autres groupes armés actifs dans la région de Beni.
L’un des tombeurs du M23 en 2013Le Colonel Mamadou Ndala commandait le 42e bataillon des commandos des Unités de réaction rapide des FARDC.
Le Colonel Mamadou Ndala avait été nommé général de brigade à titre posthume, quelques heures avant qu’il ne soit mis en terre.
Pour nombre des Congolais, Mamadou Ndala reste le héros de la victoire militaire sur le M23 à cette époque.

2025-01-022025-01-022025-01-022025-01-02Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/01-janvier/01-05/kabund_jean_marc_depute_21_01.jpgL’opposant Jean-Marc Kabund a répondu, mercredi, aux allégations de l’ancien ministre de l’Intérieur Peter Kazadi, suite à ses critiques à l’égard de Martin Fayulu, à l’issue de sa sortie médiatique qualifiant le régime en place de tribaliste.
« Permettez-moi de répondre à vos accusations avec la clarté et la pédagogie nécessaires pour dissiper tout malentendu concernant le message de Martin Fayulu.
Dans son discours, Martin Fayulu n’a nullement stigmatisé une communauté en particulier, encore moins incité à la haine envers celle-ci.
Il s’agit là d’un appel à la vigilance et à la dénonciation d’un mal structurel, et non d’une attaque contre une communauté spécifique.
Vous invitez Martin Fayulu à la « responsabilité », mais peut-on ignorer que c’est précisément ce qu’il incarne en dénonçant un système qui divise la nation au lieu de la rassembler ?

Des feux d’artifice lancés dans les rues, une circulation dense sur les grandes artères, musique et cris de joie décrivent l’ambiance festive de Kikwit, ville économique de la province du Kwilu.
Les bars et terrasses sont débordés, leurs clients débordant souvent sur la route principale.
Aux bars La Joie et Mik-Mak, des centaines d’habitants contemplent les jets de feux d’artifice, poussant des cris de joie dans une atmosphère de liesse.
Une forte présence de mineurs est constatée dans des lieux publics stratégiques comme Métro, Débout Congolais, La Joie et Facebook.
Les craintes d’abus, d’accidents de la route et de disparitions d’enfants planent sur cette célébration marquée par un certain laxisme.

Des feux d’artifice lancés dans les rues, une circulation dense sur les grandes artères, musique et cris de joie décrivent l’ambiance festive de Kikwit, ville économique de la province du Kwilu.
Les bars et terrasses sont débordés, leurs clients débordant souvent sur la route principale.
Aux bars La Joie et Mik-Mak, des centaines d’habitants contemplent les jets de feux d’artifice, poussant des cris de joie dans une atmosphère de liesse.
Une forte présence de mineurs est constatée dans des lieux publics stratégiques comme Métro, Débout Congolais, La Joie et Facebook.
Les craintes d’abus, d’accidents de la route et de disparitions d’enfants planent sur cette célébration marquée par un certain laxisme.