Ligue 1: Manika remporte le derby de Kolwezi devant Simba

Une diplomatie de proximité, agile, ancrée dans les réalités, mais souvent reléguée à la marge par les institutions.
Dans un monde fragmenté, la voix du Congo ne peut se permettre de rester enfermée dans les couloirs ministériels », écrit Kamba.
CADA et les victoires de la diplomatie activeParmi les cas pratiques analysés, figure en bonne place l’expérience du collectif Congo Action pour la Diplomatie Agissante (CADA), un exemple emblématique d’initiative informelle structurée.
Le dernier exemple en date : la facilitation de transactions commerciales bilatérales entre les États-Unis et la RDC, hors des canaux opaques habituels, renforçant la transparence et la coopération économique directe.
Il propose une vision audacieuse mais pragmatique : intégrer la diplomatie parallèle dans une stratégie nationale cohérente, coordonnée et résiliente.

L’avenue Luambo Makiadi (ex-Bokassa) fait l’objet d’une vaste opération d’assainissement ce vendredi 10 janvier 2025.
Après l’avenue Kasa-Vubu, déjà prise en charge dans un précédent chantier, les autorités s’attaquent désormais à Luambo Makiadi.
Ces actions visent à améliorer la fluidité de la circulation dans cette zone stratégique, souvent encombrée et insalubre.
Ce dernier avait promis la réouverture du marché central “Zando” dans les prochains mois, un lieu emblématique de Kinshasa.
La remise en état de l’avenue Luambo Makiadi facilitera l’accès à ce site économique vital pour la capitale.

En République démocratique du Congo, les saisons passent, mais les défis restent les mêmes : catastrophes naturelles, épidémies, naufrages sur les cours d’eau, conflits armés et autres crises se bousculent au portillon de l’actualité.
À Kalehe, au Sud-Kivu, les inondations et les glissements de terrain ont causé près de 500 morts et plus de 4000 disparus en 2023, alors que sur le fleuve Congo et ses affluents, ainsi que sur d’autres cours d’eau, les naufrages et les pertes humaines se succèdent.
Le coordonnateur humanitaire insiste sur le fait que la prévention ne doit pas être considérée comme un luxe.
Pour préserver les écoles, les hôpitaux, les routes, les récoltes.
Sans langue de bois, Bruno Lemarquis affirme que la RDC mérite mieux que les improvisations dont font preuve les décideurs lors des catastrophes.