Scandale à miss univers : miss Mexique violemment prise a partie lors d’une réunion, les miss quittent les lieux en solidarité

De pied ferme, Hervé Diakese, souligne que le pays est une fois de plus « humilié » car Tshisekedi n’a pas été en mesure de tenir sa parole de ne pas rencontrer Kagame.
Encore une fois se pose la question de la valeur à accorder à ses déclarations.
Ses fanatiques pourront essayer de transformer cette capitulation en stratégie diplomatique, mais le fait demeure que le président s’est renié devant celui qu’il a présenté au monde comme son pire ennemi.
Ce qui est terrible, c’est que cette honte rejaillit sur tout le pays », a déclaré Hervé Diakese, porte-parole d’Ensemble.
Selon le parti politique de Moïse Katumbi, rien de concret n’est sorti du communiqué final de cette rencontre, car, à l’en croire, le cessez-le-feu ne garantit rien.

« A cette audience, la haute cour aimerait, sauf si les parties ont encore d’autres petites questions de précision à poser, (…) donner la parole aux parties pour conclure.
Et dans tel cas, (…) la haute cour pourra toujours remettre les conclusions des parties à une date ultérieure.
Mais la haute cour militaire estime être passée aux réquisitoires et plaidoiries.
Réellement il y a eu désordre mais qui ne reste ne peut pas être imputé à la partie civile Vital Omba Lumumba.
La Haute cour s’est estimée suffisamment éclairée du dossier, au regard de l’instruction qu’elle a menée, renvoyant donc la cause à la huitaine soit le mercredi 26 mars 2025.

Depuis peu, un phénomène défraie la chronique à Kinshasa : “Rali”, une pratique très tendance et de plus en plus en vogue chez de nombreux jeunes Kinois.
Il s’agit d’un comportement qui consiste à feindre un mode de vie idéalisé sur les réseaux sociaux, parfois très éloignée de ce qu’est la réalité.
Ainsi chaque week-end, on observe un mouvement de nombreux jeunes venant des communes périphériques vers le centre-ville de Kinshasa.
Ils envahissent les lieux chics de la capitale pour y prendre des photos destinées aux réseaux sociaux, dans le but ultime de faire le buzz.
Ce magazine s’interroge sur les causes profondes de ce phénomène en pleine expansion, mais surtout les raisons qui poussent les jeunes à s’inventer une vie sur les réseaux sociaux qu’ils ne mènent pas en réalité.