Assemblée nationale : inquiétudes autour du retard dans l’examen de la loi des Finances 2026

Parce que nous pensons qu’il faut activer le front populaire », a-t-il renchéri.
« La taille du Gouvernement (…) doit répondre à la vision du Chef de l’État en rapport à la réduction du train de vie des institutions.
« Nos contributions ne concernent pas seulement ce qui se passe dans l’est, mais aussi des solutions durables pour la gestion et la prévention des catastrophes naturelles.
Nous profitons pour faire un appel à la population congolaise pour être tous mobilisés derrière le Chef de l’État.
Partout où vous êtes, Congolais, venez mettre votre expertise pour le pays », a-t-il lancé.

Se basant sur des données précises, Guylain Tshibamba qui s’est confié le 26 avril 2025 à 7SUR7.CD, décrit dans son livre les mécanismes de trahison et d’infiltration du Rwanda au sein de l’appareil sécuritaire congolais, ainsi que les impacts du conflit sur les populations congolaises et la stabilité de l’ensemble du continent africain.
Il met en lumière le rôle du Rwanda dans les guerres d’agression, tout en décryptant les mécanismes de trahison et d’infiltration au sein de l’appareil sécuritaire congolais.
En s’appuyant sur des données précises, il offre une perspective éclairante sur les implications de ces conflits pour les populations congolaises et la stabilité de l’ensemble du continent africain.
L’ouvrage intitulé “stratégies pour mettre fin aux agressions armées en RD Congo : M23, conflit de trop”, est un plaidoyer pour la paix, qui met en avant le coût humain des conflits ; et appelle à une prise de conscience collective et une mobilisation pour la paix.
L’ouvrage est en précommande sur le site : https://www.editions-harmattan.fr/catalogue/livre/strategie-pour-mettre-fin-aux-agressions-militaires-en-rd-congo/78845?srsltid=AfmBOopBXU77QvZE8JN-7I967MwHFu9ivvf4z8LpIvxla87ee6KTS66N.

C’est Daniel Epembe, secrétaire général du ministère, qui a procédé à cette remise au nom du ministre d’État, Christian Mwando Nsimba, en présence du Directeur général de l’INS, Elysée Chovu.
Il sera utilisé pour la phase de cartographie en vue du recensement de la population congolaise, attendu depuis plus de 40 ans.
S’adressant aux équipes de l’INS, Daniel Epembe a insisté sur la gestion rigoureuse de ces outils acquis sur financement public.
La question du recensement général de la population constitue un défi majeur pour notre pays, et le ministre d’État, ministre du Plan, veut que nous puissions le relever avec efficacité, » a-t-il déclaré.
Ces équipements permettront à l’INS de déployer des équipes techniques sur l’ensemble du territoire national, afin de collecter les premières données nécessaires à la planification nationale.