Devant un parterre d’officiels, dont les gouverneurs des provinces, les autorités de la police et les administrateurs des territoires, M. Shabani a pointé notamment la gouvernance affaiblie, l’absence des institutions et les frustrations sociales et économiques comme facteurs de prospérité de l’extrémisme violent, d’où l’importance de ces conversations nationales pour replacer la gouvernance au cœur de la prévention.
L’objectif étant, non seulement d’en comprendre les causes, mais de construire des réponses à la fois institutionnelles, communautaires et humaines.
»Pour le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), l’extrémisme violent, qu’il présente comme un phénomène multidimensionnel dont la prévention exige une compréhension fine des facteurs qui le nourrissent, prend ses racines depuis 2022 en RDC.
Il l’identifie comme l’un des éléments affectant notamment la cohésion nationale et «mettent à rude épreuve la résilience collective.
»« Il [l’extrémisme violent] n’est ni le plus répandu, ni le mieux compris, pourtant ses effets sont profondément déstabilisateurs pour les individus, pour les communautés et les institutions.
Author(s): actualite.cd
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