L’UNICEF appuie la RDC pour augmenter le nombre de filles à l’école

Réunis ce lundi 22 septembre dans un hôtel de Kinshasa, les pétitionnaires conduits par Crispin Mbindule, ont réaffirmé leur détermination à obtenir la destitution de tous les membres du bureau de l’Assemblée nationale visés par des pétitions.
C’est ce qui ressort d’une capsule vidéo partagée par l’un des frondeurs sur les réseaux sociaux, alors que la plénière « décisive » est attendue pour cet après-midi.
« Pas question de sauver certains membres du bureau, tous doivent être chassés », a déclaré l’un d’eux dans cette vidéo devenue virale.
Le rapport de la Commission spéciale est attendu lors de la séance de ce lundi, avant le débat général et le vote en plénière.

Kinshasa, 10 juillet 2025 (ACP).- L’ouverture de la deuxième session ordinaire de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) de la République démocratique du Congo (RDC), prévue le 10 juillet 2025, a été renvoyée à 10 jours, faute de quorum, lors d’une plénière tenue, jeudi, à son siège à Kinshasa.
Le rapporteur de la CNDH-RDC s’est appuyé sur l’article 34 du règlement intérieur de cette institution qui stipule: « L’assemblée plénière ne siège valablement qu’à la majorité de 2/3 de ses membres.
Et d’ajouter : « cette disposition relève aussi que le président de la CNDH va convoquer à nouveau l’assemblée plénière qui va siéger endéans 10 jours à dater du procès-verbal de carence ».
Me Didier Kimbumbu a indiqué qu’une autre précision de cette disposition stipule que: « A cette convocation subséquente, l’assemblée plénière ne siège valablement qu’à la majorité absolue ».
Il sied de noter que la deuxième session ordinaire 2025 de la CNDH-RDC a prévu comme l’ordre du jour : l’état des rapports à élaborer (rapport sur la situation des droits de l’homme en RDC exercices 2023-2024, les activités réalisées de la CNDH-RDC exercices 2023-2024); et le lancement des activités sur l’enregistrement des défenseurs des droits de l’homme.

Kisangani se trouve à environ 400 kilomètres de Walikale-centre, dans le Nord-Kivu.
Selon la société civile locale, des éléments du M23 sont encore visibles à Walikale-centre, chef-lieu du territoire du même nom, contrairement à ce qu’indique leur communiqué.
Il ajoute que des combattants du M23 ont « détruit et pillé le dépôt de ration des FARDC abandonné à l’aéroport de Kigoma/Walikale ».
Dans un message adressé aux autorités congolaises ainsi qu’aux communautés nationale et internationale, Fiston Misona alerte sur les intentions du M23.
C’est pourquoi nous lançons une fois de plus un appel à l’armée, aux Wazalendo et à la population pour qu’ils restent vigilants », a-t-il déclaré.