Semaine nationale du climat 2025 : Félix Tshisekedi invite les partenaires internationaux à investir dans la forêt tropicale congolaise, l’énergie propre et l’innovation écologique

Plusieurs axes routiers des secteurs de Bapere et de la chefferie des Baswagha, dans le territoire de Lubero, sont actuellement dans un état de délabrement avancé.
Cette situation critique est dénoncée par la société civile locale, qui a exprimé ses préoccupations à 7SUR7.CD, le mardi 29 juillet 2025.
La société civile appelle les autorités provinciales à agir rapidement pour remédier à cette crise.
L’autorité provinciale doit impérativement remplacer ces individus incompétents”, a souligné Moïse Kahuyu, rapporteur de la société civile de Vuyinga.
Des groupes armés non identifiés profitent de l’état de ces tronçons pour mener des attaques et semer la terreur parmi les habitants.

Les fonctionnaires du secteur de Bapère, en territoire de Lubero (Nord-Kivu), ont entamé, lundi 7 avril, une grève illimitée pour dénoncer la mauvaise gestion de leur chef.
Dans une correspondance adressée à l’administrateur du territoire de Lubero, ces travailleurs de l’Etat ont accusé le chef de leur entité d’exploitation illicite de minerais dans une concession publique.
Ils ont également dénoncé l’incapacité du chef de leur secteur à bien gérer son personnel, ainsi que sa tendance à gérer les ressources du secteur comme des « butins de guerre ».
Ces agents affirment leur intention de poursuivre cette grève jusqu’à obtention d’une réponse favorable.
De son côté, l’administrateur du territoire de Lubero, colonel Alain Kiwewa Mitela, a demandé aux fonctionnaires grévistes d’être patients, le temps pour lui de s’imprégner du dossier et d’échanger avec toutes les parties.

Le professeur Sam Bokolombe fait partie des 81 candidats invalidés par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), pour fraude électorale et violences, lors des législatives nationales de 2023 à Basankusu (Equateur).
Il dit vouloir user de toutes les voies de recours pour être réhabilité dans ses droits et obtenir réparation pour les dommages subis.
Le Parquet général près la Cour de cassation s’était saisi des allégations de fraude électorale faites par la CENI.
Après ses enquêtes, il lui a signifié que ce dossier était désormais « classé sans suite, faute de preuve ».
Sam Bokolombo salue ce verdict, mais compte attaquer « l’acte gracieux et cynique de la CENI » visant à porter attente à son honneur.