Kinshasa : ouverture de la première Semaine nationale du climat 2025

Lors de la 38e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, qui s’est tenue à Addis-Abeba (Éthiopie) les 15 et 16 février 2025, les États membres ont adopté la Convention de l’Union africaine sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles.
Ce nouvel instrument continental vise à :- Prévenir et éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles en Afrique- ⁠Renforcer les mécanismes juridiques et institutionnels pour lutter contre cette violence- ⁠Promouvoir une culture de respect des droits humains et de l’égalité des sexes sur le continentLa Convention, élaborée à la suite de la décision prise en février 2023 par les chefs d’État et de gouvernement, s’attaque aux causes profondes de la violence et encourage une action commune des États parties.
La 38eme session ordinaire de l’UA a également permis de discuter des priorités pour 2025 et des mécanismes de mise en œuvre de l’Agenda 2063 de l’Union africaine, sur le thème « La justice pour les Africains et les personnes d’ascendance africaine par les réparations ».
Nancy Clémence Tshimueneka

L’armée congolaise a déjoué ce samedi 21 décembre, une tentative d’avancée des rebelles du M23 soutenus par Kigali à Kanyambi, village situé entre Mambasa et Ndoluma, à une quarantaine de kilomètres au sud de Lubero-centre (Nord-Kivu).
Ces affrontements interviennent le lendemain de la prise de commande par le nouveau chef des opérations Sokola 1 Grand-Nord.
Il s’agit du général-major Bruno Mandefu, également commandant des opérations Shujja en cours à Lubero (axe-Manguredjipa) et Beni contre les rebelles islamistes des Forces démocratiques alliées (ADF).
Il succède au général Chicko Tshitambwe, rappelé à la première zone de défense.
Le nouveau commandant des opérations contre le M23 a la lourde tâche de restaurer l’image de l’armée ternie par des défaites en cascades, en libérant des zones jusque-là conquis par les rebelles.

Le Royaume de Belgique dément les rumeurs de la fermeture de son ambassade et celle de l’évacuation de ses sujets du sol congolais.
« Contrairement à certaines rumeurs qui circulent, la Belgique n’a pas fermé son ambassade et n’a ordonné aucune évacuation.
Les services consulaires aux Belges sont toujours assurés.
Nous travaillons au rétablissement de l’ensemble des services », affirme l’ambassade de la Belgique en RDC.
Notons que ces rumeurs sont nées du vandalisme orchestré par certains manifestants lors d’une marche de protestation contre l’agression rwandaise dans l’Est de la RDC ainsi que de l’inaction de l’Union européenne vis-à-vis du régime de Kigali.