Le Cameroun, un dossier sensible pour la France [Analyse]

La société civile du groupement de Bambuba-Kisiki, dans le territoire de Beni au Nord-Kivu, alerte sur la présence des rebelles des ADF à Mutweyi, une localité située entre les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.
Selon Patrick Kahasa Musubao, président de cette organisation, ces hors-la-loi imposent des jetons aux agriculteurs pour accéder à leurs champs, aggravant ainsi l’insécurité dans la région.
« Les ADF sont aux alentours de Mutweyi et ils ont imposé des jetons aux cultivateurs pour exploiter leurs champs librement.
Nous déplorons cette situation, car nous ne sommes pas dans la jungle, mais dans un pays organisé.
Cet acteur de la société civile appelle l’armée et les services de sécurité à tout mettre en œuvre pour éradiquer la présence des rebelles dans la région.

2025-08-312025-08-312025-08-312025-08-31Ajouter aux favorishttp://www.mediacongo.net/dpics/filesmanager/actualite/2025_actu/08-aout/25-31/doron_almog_president_de_l_agence_juive_pour_israel_pht_ks_31_aout_2025.pngDoron Almog, président de l’Agence juive pour Israël, a dirigé le Commandement sud de l’armée entre 2000 et 2003.
Un ancien commandant israélien a annulé dimanche son voyage en Afrique du Sud par crainte d’être arrêté en raison de son rôle dans la guerre génocidaire menée par Israël dans la bande de Gaza, ont rapporté des médias locaux.
En 2005, un mandat d’arrêt avait été émis contre lui au Royaume-Uni pour son implication dans la destruction de près de 50 maisons palestiniennes à Rafah, dans le sud de Gaza.
Il avait alors été contraint de repartir pour Israël sans descendre de l’avion.
Israël fait également face à un procès pour génocide devant la Cour internationale de Justice.

Or, il ne s’agit pas d’un congrès portant sur une matière complexe, mais simplement de remplacer des juges à la Cour Constitutionnelle », a expliqué Vital Kamerhe.
Le président de l’Assemblée nationale a mis en avant la difficulté actuelle de la Cour Constitutionnelle à remplir ses fonctions, faute de membres en nombre suffisant.
Exceptionnellement pour la première composition de la Cour, les durées de mandat avaient été différenciées – trois, six et neuf ans – à travers un processus de tirage au sort, afin d’éviter une vacance complète à la Cour et de préserver la continuité de la jurisprudence.
La Cour Constitutionnelle, ci-après la Cour, comprend neuf membres nommés par le Président de la République, dont trois sur sa propre initiative, trois désignés par le Parlement réuni en Congrès et trois autres par le Conseil Supérieur de la Magistrature.
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