RDC-Rwanda :”l’accord ne prévoit ni contrepartie économique, ni concession en matière minière ni traité commercial bilatéral” prévient Thérèse Kayikwamba Wagner

Vingt et un (21) députés provinciaux de Lomami présents dans la salle des plénières de l’Assemblée provinciale ont voté, ce lundi 05 mai 2025, pour la déchéance du vice-président de l’organe délibérant, Augustin Malangu Ndjibu.
La décision a été prise à l’unanimité par les 21 députés présents et a été motivée par des accusations graves telles que l’incompétence, l’usurpation de pouvoir et l’immoralité.
Cette plénière, présidée par Patrick Kilolo Ngoyi, président de cet organe délibérant, a vu la lecture d’une pétition déposée par le député Joseph Nkomo, qui a été le déclencheur de cette action.
Un fait qui n’a pas échappé aux membres présents pour le destituer de ses fonctions.
Les observateurs s’accordent à dire que le futur titulaire du poste pourrait être choisi parmi les députés du territoire de Kabinda.

Depuis trois jours, une vive tension règne à Kota-Koli, une localité située à 90 kilomètres de Gbadolite, chef-lieu de la province du Nord-Ubangi.
Un incident tragique déclenche les hostilitésSelon des sources locales, la foudre est tombée sur deux militaires alors qu’ils se trouvaient au marché de Kota-Koli sous une petite pluie.
D’après les témoignages, plusieurs militaires furieux ont attaqué les boutiques et maisons de commerce au marché, armes à la main.
Sur place, certaines opinions évoquent une détérioration des conditions des militaires, ce qui compliquerait leur cohabitation avec la population locale.
Aux dernières nouvelles, un calme précaire est observé ce jeudi à Kota-Koli, grâce à l’intervention du commandant du centre d’entraînement, qui a réussi à contenir la situation.

La société civile du territoire de Lubero, au Nord-Kivu, a alerté, mercredi 23 avril, sur une augmentation inquiétante des cas de malnutrition chez les enfants et les femmes de Njiapanda, une localité située dans la zone de santé de Biena.
Cette recrudescence est attribuée au déplacement massif de la population, conséquence des affrontements entre les FARDC, les rebelles du M23 et les ADF.
« Il y a un problème grave de nutrition lié au déplacement des populations qui vivaient auparavant dans les aires de santé voisines, mais qui n’ont plus accès à leurs champs.
Nous appelons les organisations humanitaires à venir en aide aux personnes dépourvues de moyens, afin de stopper cette crise de malnutrition qui atteint un niveau alarmant.
Nous recommandons également aux écoles proposant l’option nutrition d’encourager leurs élèves à s’impliquer dans la recherche active des cas de malnutrition », plaide Merveille Mhindo Kavughu.