Elles ont fait l’actualité cette semaine

Le Syndicat national des médecins du Congo (SYMECO) exige du Gouvernement le paiement complémentaire du quatrième trimestre 2024.
Tout en réitérant sa confiance dans les engagements du Gouvernement, le SYMECO lui accorde un délai allant jusqu’au 2 janvier 2025 pour concrétiser les attentes des professionnels de la santé, sous peine d’une reprise de la grève.
Le paiement complémentaire réclamé inclue l’alignement à la prime de risque professionnel pour 1000 médecins, le paiement au grade statutaire pour 5177 médecins promus, ainsi que le paiement du deuxième palier de 35 % des indemnités de transport et de logement.
Ce syndicat regrette qu’à 48 heures de la fin de l’exercice budgétaire 2024, ce paiement ne soit toujours pas effectif, engendrant une nouvelle tension et crise dans le secteur de la santé.
Il a par ailleurs appelé tous les médecins des services publics de l’État membres du SYMECO à rester mobilisés et vigilants et à se tenir prêt à reprendre la grève générale dès le jeudi 2 janvier 2025 en cas d’inaction du Gouvernement.

Des réactions fusent de partout après la mise en accusation samedi 10 mai du gouverneur de province par l’assemblée provinciale.
La mise en accusation samedi dernier du gouverneur de province divise d’abord les députés provinciaux de l’assemblée provinciale du Kasaï-Oriental, au regard des résultats du vote.
Sur 24 députés provinciaux, 14 ont voté pour la mise en accusation de l’autorité provinciale et 9 ont rejeté cette disposition.
Les militants de la lutte pour le changement affirment quant à eux que les députés provinciaux ont bravé la peur pour engager la province sur la voie de la stabilité, fondée sur la bonne gouvernance.
Les présidents sectionnaires de la Fédération de L’UDPS, ainsi que la ligue des jeunes rejettent cette décision estimant que les élus provinciaux n’ont pas été objectifs.

2025 (ACP).- L’éveil patriotique et les comportements à adopter par l’étudiant pour sauver la patrie à l’état actuel de guerre, ont été évoqués jeudi, par la fondation « Imhotep » à l’Université de Kinshasa, en République démocratique du Congo (RDC), lors d’une conférence suivie de la campagne de don bénévole de sang, dénommée, « Mon sang, ma patrie ».
« Le sang étant la matière première pour toute vie humaine.
Comme il n’existe pas d’usine qui produit du sang, la seule façon de s’en procurer, c’est d’un donneur à un receveur », a indiqué Grevert Kuvuyuka, secrétaire de transfuzat.
Transfuzat ASBL est une structure qui œuvre dans la sensibilisation de Don de sang et les campagnes de collecte de sang bénévoles.
Elle lutte contre toute pénurie en approvisionnements sanguin à laquelle les différentes institutions sanitaires font face.