Contre le rapport des experts des Nations Unies, « Si nous avions voulu attaquer, nous serions déjà à Kinshasa » (Général Muhoozi Kainerugaba)

À Onalua, là où naquit Lumumba, les autorités, les leaders coutumiers, les acteurs politiques et une foule nombreuse de citoyens se sont réunis pour se rappeler leur fils.
Des discours, des chants patriotiques et des danses traditionnelles et des témoignages sur Lumumba ont marqué cette journée d’hommage, dans une ambiance de recueillement et de fierté.
Pour Nissy Lambert Nkoye, rapporteur adjoint de l’Assemblée provinciale, parle d’un homme qui voulait de l’émancipation de l’homme noir.
« Que les congolais comprennent qu’il n’y a pas un pays au monde qui pourra libérer le Congo (…) le Congo pourra se libérer par lui-même.
Parce que Lumumba, à lui seul, a compris le sens de responsabilités que nous devrions incarner chacun… », a-t-il déclaré.

L’écrivain congolais Valentin-Yves Mudimbe est mort, ce mardi 22 avril 2025, à l’âge de 84 ans, en Caroline du Nord, aux Etats-Unis, où il s’était installé depuis quelques années et enseignait dans les universités Stanford, Duke et Haverford Collège.
Une des figures emblématiques de la littérature congolaise, Mudimbe est l’auteur de plusieurs œuvres classiques qui ont traversé le temps comme les romans Entre les eaux, le Bel immonde et L’écart, L’invention de l’Afrique, la littérature noire et le problème du sacré, Déchirures (poésie) et Les fragments d’un espoir (poésie).
Philosophe, poète, romancier et critique littéraire, V. Y. Mudimbe est le Grand prix catholique de littérature (prix du Renouveau français) de 1973 pour son œuvre Entre les eaux.
Dieu, un prêtre, la révolution.
Christian Dimanyayi

Kisantu, 1er janvier 2025 (ACP).- Les factures médicales de quelques malades démunies de l’hôpital Saint Luc de Kisantu, au Kongo Central, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, ont été prises en charge par une coopérative, a appris mercredi l’ACP de source médicale.
« L’argent que nous avons utilisé pour venir en aide à ces familles provient des crédits contractés par nos membres et des intérêts générés, une partie de ces fonds est dédiée à des actions sociales », a indiqué Damas Fuiti Mavungu, gérant de la Caisse d’action mutuelle d’épargne et de crédit » (CAMEC)/Inkisi, sans préciser la hauteur de la facture totale.
Il a indiqué que ce geste humanitaire a été rendu possible grâce à une mobilisation exceptionnelle de cette coopérative, témoignant son engagement à répondre aux besoins des plus démunis.
« La décision de prendre en charge les factures médicales a permis la libération immédiate des familles, leur offrant l’occasion de rentrer chez elles après plusieurs mois d’incertitude », a-t-il ajouté.
M. Fuiti a réaffirmé l’engagement de cette coopérative à œuvrer dans des actions humanitaires régulières, précisant que de telles initiatives seront menées semestriellement pour répondre aux besoins sociaux des populations vulnérables.