La CENCO proteste contre la confiscation momentanée du passeport de Mgr Donatien Nshole

Le Niger, le Burkina Faso et le Mali, trois pays sahéliens gouvernés par des juntes militaires, ont décidé d’unir davantage leur force pour lutter contre le jihadisme en créant une armée commune de 5 000 hommes, a annoncé mardi 21 janvier le ministre nigérien de la Défense.
Ces trois pays dont les régimes civils ont été renversés dans des putschs entre 2020 et 2023 ont formé une confédération l’an dernier : l’Alliance des États du Sahel (AES).
Les trois pays de l’AES constituent un vaste territoire enclavé de 2,8 millions de kilomètres carrés, soit quatre fois la France.
Les pays de l’AES mènent déjà des opérations ponctuelles conjointes contre les jihadistes, notamment dans la zone dite “des trois frontières”, où les attaques sont les plus nombreuses.
L’AES accuse également la Cédéao d’être inféodée à la France, l’ancienne puissance coloniale à laquelle ils ont tous tourné le dos, privilégiant de nouveaux partenaires, comme la Russie.

Sur le site de la base-vie, le Président de la République a reçu des explications du ministre des Infrastructures, Alexis Gisaro, sur le déroulement des travaux.
De son côté, le député provincial Pierre Sosthène Kambidi, élu du territoire de Kazumba, que traverse la route Kalamba-Mbuji, salue la présence du président Tshisekedi sur le terrain, mais reste sur sa faim :”La partie de la route que le président Félix Tshisekedi a parcourue n’a jamais posé problème pour les usagers, avec ou sans travaux.
Car sans cette route, le Kasaï-Central, et au-delà tout l’espace Grand Kasaï, resteront enclavés”, a déclaré l’ancien journaliste Sosthène Kambidi.
Avant de visiter la route Kalamba-Mbuji, le président Tshisekedi a pris part, ce mercredi de Noël, à la pro-cathédrale Saint-Clément de Kananga, à la messe de la Nativité célébrée par l’archevêque métropolitain, Mgr Félicien Ntambwe Kasembe.
Au cours de cette célébration eucharistique, l’archevêque de Kananga n’a pas manqué de rappeler au président Tshisekedi les attentes de la population : les routes, l’électricité et la lutte contre les érosions.

Kinshasa, 4 décembre 2024 (ACP).- Les Régulateurs des télécommunications de la République démocratique du Congo ont été appelés mercredi à Kinshasa, à contribuer à la stratégie de sécurité des données, au cours du 20 ème anniversaire de l’Association des régulateurs des télécommunications d’Afrique centrale(ARTAC).
Selon lui, la souveraineté numérique et la régularisation des données sont des sujets essentiels à l’ère de la formation numérique de toutes les organisations tant publiques que privées, ou les données sont devenues une source stratégique.
Les enjeux et perspectives de la souveraineté numérique et la régulation des données incluent notamment la protection des données personnelles dans le but de protéger la vie privée et les droits des individus par l’encadrant des processus de collecte, de stockage, de traitement.
L’avènement d’un marché commun sous régional des services des TIC, a-t-il ajouté, passera par l’harmonisation des politiques et des réglementations nationales des télécommunications et TIC.
A ce jour, l’ARTAC compte 8 pays membres régulateurs à savoir: Le Cameroun, le Gabon, le Congo, la RCA, la RDC, le Tchad et la Guinée équatoriale.